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"Si on pense que la France est heureuse, alors direction l'homéopathie" lance Nicolas Sarkozy
©Reuters

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Lors d'une visite en Corse, le candidat à la primaire de la droite et du centre a estimé que "la primaire doit trancher la question de la ligne politique".

Alors que Nicolas Sarkozy est toujours clairement distancé par Alain Juppé dans les sondages, l’ancien chef de l’Etat ne baisse visiblement pas les bras. Ce mercredi, lors d’une courte visite en Corse, suivi par un journaliste du Figaro, le candidat a poursuivi sa campagne, déclarant d'abord qu’il était "sans doute l'homme politique français à être venu le plus ici".

A un mois du premier tour de la primaire de la droite et du centre, Nicolas Sarkozy ne comprend pas en quoi les sondages seraient "mauvais" pour lui. "Ils ne sont pas si mauvais que ça" a-t-il martelé dans la ville de Biguglia. "Quand on est candidat à la primaire de la droite et du centre et que vous êtes devant à droite, c'est plutôt bon signe. Je n'ai pas l'impression de faire la course en deuxième ou troisième. Je fais la course comme les autres".

L’ex-président de la République a aussi donné son avis sur la ligne de sa formation politique… tout en taclant son rival Alain Juppé. "La primaire de la droite doit trancher la question de la ligne politique", demandant une "alternance véritable". "Si on pense que la France est heureuse, alors direction l'homéopathie", a lancé Nicolas Sarkozy . "Au fond, on ne change rien. On était modérément de gauche, on va être modérément du centre. Moi je pense que la situation de la France est grave".

>>>> A lire aussi : Sondage Exclusif : comment Alain Juppé conforte son avance sur Nicolas Sarkozy au premier comme au deuxième tour de la primaire de la droite et du centre

Lu sur Le Figaro

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