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Affaire Bygmalion : la réponse sèche de Nicolas Sarkozy à François Fillon
©France 2

De l'électricité dans l'air

Interrogé lors du débat de jeudi soir, l'ex-chef d l'Etat a vivement réagi à des insinuations de son ancien Premier ministre.

Après un débat très calme, la tension est alors soudainement montée d’un cran.  Lors du débat de jeudi soir entre les participants à la primaire de la droite et du centre, Nicolas Sarkozy n’a pas échappé à l’affaire Bygmalon. Interrogé sur les attaques de Bruno Le Maire et François Fillon à propos de sa mise en examen, l’ancien président de la République n’a pas esquivé le sujet. Après quelques secondes d'hésitation, il a attaqué : "Ce ne sont pas des déclarations qui honorent ceux qui les prononcent".

Pour rappel, le 28 août, l’ancien Premier ministre avait déclaré à propos de cette affaire et de la candidature de Nicolas Sarkozy : "Qui imagine un seul instant le général de Gaulle mis en examen/ L'ex-chef de l’Etat a condamné un acharnement. "Mon casier judiciaire, après en 37 ans de vie politique, il est vierge", a-t-il lancé "et depuis 5 ans, je suis le Français qui a été le plus écouté, perquisitionné, interrogé. Résultat : 5 non-lieux." Pour répondre aux attaques de François Fillon, l'ancien président des Républicains a de nouveau clamé son innocence : "Est-ce que vous croyez vraiment que si j'avais quoi que ce soit à me reprocher, je me lancerais dans cette nouvelle campagne."

De son côté, Jean-François Copé, également éclaboussé par l’affaire, a de nouveau clamé son "innocence totale". Il a réaffirmé que s'il avait été mis en examen, il n'aurait "pas été candidat" à cette primaire.

Lu sur RTL.fr

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