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Dupont-Aignan, Raffarin, Lagarde… les réactions politiques de la matinée
©Reuters

Dans l'actu

La primaire de la droite et du centre tout comme les confidences de François Hollande à des journalistes du Monde étaient au cœur de l’actualité des matinales.

Invité d'Europe 1 ce jeudi matin, Nicolas Dupont-Aignan  n'a pas mâché ses mots contre la primaire de la droite et du centre. "C'est sûr que les Français vont comprendre que la primaire est une immense manipulation", a indiqué le président de "Debout la France. "C'est un moyen pour une classe politique, qui a gouverné pendant dix ans, qui a en fait le même projet, d'organiser un jeu de rôle pour faire croire qu'ils sont nouveaux, qu'ils ont des solutions", a-t-il dénoncé. Expliquant n'avoir "aucun regret" de ne pas y participer, le " a expliqué que "la vraie primaire, c'est le premier tour de la présidentielle". "Je me prépare à affronter celui qui sortira vainqueur".


Nicolas Dupont-Aignan : la primaire de droite...par Europe1fr

Jean-Pierre Raffarin a lui tiré à boulets rouges sur François Hollande, alors que le livre de Gérard Davet et Fabrice Lhomme Un président ne devrait pas dire ça, contenant des confidences du chef de l'Etat, sort ce jeudi. "Pour moi cela a quelque chose de tragique, comme s'il courait après la conservation de son pouvoir, c'est inintelligent", a fustigé le sénateur sur RMC. "C'est un bavardage désespéré, et désespérant. Où est la fonction présidentielle, où est sa pudeur, son intimité?",


Les confidences de Hollande, "un bavardage...par BFMTV

Alors que Jean-Christophe Lagarde a annoncé ce mercredi que l'UDI allait soutenir Alain Juppé, le président de l'Union des démocrates et indépendants a expliqué ce choix. Il estime notamment que Nicolas Sarkozy se "trompe de diagnostic sur la France", mais aussi sur "l'identité". "L'identité de la France, il faut qu'il nous dise quand est-ce qu'elle s'est arrêtée", ironise le président de l'UDI, "aux Gaulois, Mérovingiens, Carolingiens, avec les Lumières ?" C'est une "ligne politique que je ne partage pas", tranche-t-il. "Je ne pense pas que les ouvriers d'Alstom se réveillent en pensant à s'ils sont gaulois", poursuit-il, plaidant pour"faire en sorte que cette primaire ne soit pas comme on voit depuis un mois un débat sur l'identité nationale, qui n'est pas la préoccupation des Français.


"Je ne pense pas que les ouvriers d'Alstom se...par rtl-fr

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