Emmanuel Macron : "En France, il n'y a aucune religion qui soit un problème"

Ses ambitions : "Je n'ai pas le sentiment qu'"En marche" soit une coquille vide. Il y a 84.000 adhérents" a expliqué Emmanuel Macron. Si une candidature n'est toujours pas à l'ordre du jour, il imaginerait pour un gouvernement élargi, sur la abse de son mouvement qui " assemble des élus, qui sont de gauche, écologistes, centristes, qui sont parfois de droite, c'est la réalité sur le terrain."

La transparence politique : "Nous avons un problème d'adhésion démocratique et d'efficacité collective" souligne-t-il. "Le Président pourrait rendre des comptes chaque année devant une commission citoyenne. Ce qui permet de faire transparence." De la même façon, il considère que les candidats condamnés pour corruption et prise illégale d'intérêt devraient être exclus de la course aux élections. "Il y a en effet certains délits qui justifieraient que l'on se pose la question un peu différemment. J'appelle chacun à la responsabilité."

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Les critiques sur sa "trahison" envers François Hollande : "La loyauté, c'est une fidélité à ses valeurs et à ses proches" explique l'ancien ministre. "J'ai accompagné François Hollande et j'en suis fier. Lorsque j'ai été appelé ministre, j'ai servi, j'ai été très clair sur mes objectifs. On est d'abord loyal quand on est conforme à ses engagements. J'ai quitté le gouvernement pour prendre mes responsabilités, prendre mon risque." 

Alstom : "La solution pour Alstom, c'est la compétitivité" a-t-il tranché, sans commenter davantage le plan du gouvernement.                                                                                

L'islam : " "En France, il n'y a aucune religion qui soit un problème (…) toutes les religions ont leur place dans la société française, à égalité" assure Emmanuel Macron qui s'oppose à l'interdiction du voile à l'université.