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El Khomri, Cambadélis et Guaino… les réactions politiques de la matinée
©Reuters

Dans l'actu

L'intervention de Nicolas Sarkozy dans "L'Emission politique" était au cœur de l'actualité politique de la matinée.

Myriam El Khomri a répondu aux questions de RTL, au lendemain d'une manifestation nationale contre la loi Travail. Et a évoqué un regret… "J'ai un regret bien sûr, sur le démarrage. Bien évidemment que j'aurais souhaité qu'il puisse y avoir un débat à l'Assemblée nationale et au Sénat autour de cette loi. Ça n'a pas été possible. On a cherché, avec le Premier ministre (...), les voies d'un compromis, nous n'avons pas réussi à le trouver. Bien évidemment, on le regrette." Elle a également estimé que "l'enjeu essentiel est de pouvoir s'adapter" au marché du travail. La ministre du Travail est également revenue sur le passage de Nicolas Sarkozy à "L'Emission politique", jeudi soir sur France 2.  Selon elle, l'ancien chef de l'Etat participe à "une primaire de l’extrême droite". "Je ne souhaite pas qu’il soit président", évoquant une "vision de la France qui divise". "Où est l’humanisme ? Où est la générosité qui fait de notre pays ce qu’il est ?".

Sur France Info, Jean-Christophe Cambadélis a de son côté évoqué l'intervention de Nicolas Sarkozy. "Sur le terrorisme nous voulons maintenir l'État de droit. Nicolas Sarkozy veut s'émanciper de l'État de droit", a-t-il estimé, faisant référence à la proposition de l'ancien chef de l'Etat de placer en rétention administrative les personnes fichées S qui présentent un caractère de dangerosité. Il s'est également exprimé sur le dossier Hinckley Point ("j'ai été depuis le début très sceptique sur cette aventure" a-t-il déclaré. "Je ne pensais pas que le gouvernement anglais s'engagerait") et sur Emmanuel Macron "C'est lui qui s'est coupé de nous. C'est lui qui a décidé de partir.  Ce n'est pas un désaccord politique c'est une ambition personnelle").

Au micro de Radio Classique, Henri Guaino s'est dit "déterminé" pour l'élection présidentielle, une élection qu'il "voit partir sur de très mauvaises voies". Interrogé sur les propositions des candidats à la primaire de la droite et du centre, il a estimé que ces programmes n'étaient pas "sérieux". Il a ajouté qu'il n'était pas "le rival de Nicolas Sarkozy". "Mais j'ai décidé de porter moi-même mes idées, car pour l'instant les comportements que j''observe ne sont pas à la hauteur des défis que la France rencontre".

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