Attentats de Paris : trois migrants syriens liés aux auteurs des attaques ont été arrêtés en Allemagne <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Attentats de Paris : trois migrants syriens liés aux auteurs des attaques ont été arrêtés en Allemagne
©Reuters

Enquête

Les suspects sont arrivés en Allemagne pendant la vague migratoire de l'année 2015, lors de laquelle 1 million de demandeurs d'asile étaient entrés dans le pays.

Le parquet fédéral allemand a indiqué que trois migrants syriens soupçonnés d'appartenir au groupe terroriste Etat islamique ont été arrêtés ce mardi dans le nord du pays. Mahir Al-H., 27 ans, Mohamed A., 26 ans, et Ibrahim M. 18 ans sont arrivés en Allemagne pendant la vague migratoire de l'année 2015, lors de laquelle 1 million de demandeurs d'asile étaient entrés dans le pays. 

D'après le ministre allemand de l'Intérieur, Thomas de Maizière, "l'état actuel des investigations de la police criminelle fédérale indique des liens avec les assaillants de Paris de novembre 2015". Évoquant la possibilité d'une "cellule dormante", le ministre a ajouté que ces trois hommes avaient obtenu leurs papiers d'identité auprès des mêmes groupes que les terroristes du 13 novembre. 

"En l'état actuel des investigations de la police criminelle, les trois accusés sont soupçonnés d'être venus en Allemagne sur ordre de l'organisation État islamique soit pour exécuter une mission, soit pour se tenir prêt en vue d'instructions", a déclaré le parquet, qui va poursuivre ces trois individus pour appartenance à une "organisation terroriste étrangère". 

>>>> À lire aussi : Ce que l’utilisation d’enfants kamikazes par l’Etat Islamique révèle de l’embrigadement massif de la jeunesse sur son territoire

Lu sur Libération

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !