Nadine Morano : "nous ne maîtrisons pas l'immigration"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Nadine Morano : "nous ne maîtrisons pas l'immigration"
©Reuters

Polémique

L'ancienne députée s'est exprimée dans l'émission de Jean-Jacques Bourdin sur RMC.

Nadine Morano, ancienne députée de Meurthe-et-Moselle et candidate à la primaire de la droite et du centre pour l'élection présidentielle de 2017, s'est exprimée sur l'émission de Jean-Jacques Bourdin sur RMC, notamment sur le sujet du terrorisme, et de l'islam en France. Si Nadine Morano a prévenu que "[l'État islamique" veut une guerre des religions", ce qui suggèrerait qu'il faut apaiser les tensions, elle a néanmoins impliqué l'islam de France, et l'immigration, dans les problèmes actuels de la France. Elle a notamment déclaré "Il y a une invasion massive arabo-musulmane."

Quelques autres citations à noter de son interview : 

  • Sur l'islam en France : "On laisse s'installer en France un islam politique depuis très longtemps" ; "J'attends que les responsables musulmans disent haut et fort qu'ils sont contre le port du voile intégral" "Nous devons être très fermes contre ceux qui prêchent contre notre mode de vie." ; "Je veux qu'on ferme et démolisse les mosquées salafistes !" ; "Il y a un gros problème avec l'organisation de l'islam en France."
  • Sur l'immigration : "Il y a une invasion massive arabo-musulmane. [...] Je ne veux pas que la France devienne musulmane" ; "Si on veut maintenir notre cohésion et notre équilibre culturel, il faut rééquilibrer notre immigration."

Nadine Morano est également revenue sur son engagement dans la primaire, déclarant que "je ne m'engage pas pour un poste mais pour mon pays."

A LIRE AUSSI : Comment l'islam a doucement pris la place du communisme en tant que pôle critique du libéralisme post-chrétien

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !