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Trains de nuit : faute de repreneur, l'État pourrait fermer la moitié des lignes
©Reuters

Terminus

"Le gouvernement confirme sa décision de ne plus financer l’exploitation de ces lignes, mais reste à l’écoute de toute offre de reprise. En l’absence de telle proposition ou de financement tiers, SNCF Mobilités sera amené à interrompre les services au 1er octobre 2016", explique notamment le secrétariat d'Etat aux Transports.

Dans un communiqué publié jeudi 21 juillet, le secrétariat d'État aux Transports a confirmé sa décision de ne plus financer l'exploitation de six grandes lignes de trains de nuit. Le maintien de ces lignes ne pourrait être assuré que grâce à une reprise de la SNCF. Cette décision fait partie des projets du gouvernement sur les trains d'équilibre des territoires, qui relient les grandes villes sans utiliser les lignes à grande vitesse. 

Ce plan prévoit notamment l'arrêt du financement de six lignes de nuit, jugées comme bénéficiant "d'offres alternatives de mobilité de bon niveau, ou qui vont prochainement s'améliorer avec la mise en service des nouvelles lignes à grande vitesse".

"Le gouvernement confirme sa décision de ne plus financer l’exploitation de ces lignes, mais reste à l’écoute de toute offre de reprise. En l’absence de telle proposition ou de financement tiers, SNCF Mobilités sera amené à interrompre les services au 1er octobre 2016", déclare notamment le secrétariat d'Etat aux Transports. 

"La ligne Paris-Nice (…) sera maintenue jusqu’à la fin de la saison estivale 2017, le 1er octobre 2017. Enfin, un travail est en cours entre la région Occitanie et SNCF Mobilités pour définir un prolongement du service de nuit entre Toulouse et Cerbère", poursuit le communiqué. 

Lu sur Les Echos

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