Attaque à la hache en Allemagne par un jeune afghan, revendiquée par l'Etat Islamique <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Attaque à la hache en Allemagne par un jeune afghan, revendiquée par l'Etat Islamique
©Reuters

Drame

Le lundi 18 juillet au soir, une jeune afghan de 17 ans a attaqué à la hache et au couteau les passagers d'un train régional allemand. Quatre personnes ont été grièvement blessées lundi soir.

En Bavière, lundi 18 juillet, à 21h15, un jeune afghan de 17 ans attaqué à la hache et au couteau les passagers d'un train régional assurant une liaison entre les villes de Treuchtlingen et Wurtzbourg, en Bavière.

Il a grièvement blessé quatre personnes puis, s'est enfuit. "La police est partie à sa poursuite et dans le cadre de cette poursuite, a tiré sur l’agresseur et l’a tué", a précisé un porte-parole du ministère régional de l’intérieur, Oliver Platzer. C’est une unité spéciale d’intervention de la police allemande (SEK), qui a fait feu sur le jeune homme lorsqu’il a tenté de s’en prendre à elle avec ses armes blanches. Cette unité se trouvait par hasard, pour une autre mission, dans la ville, et a pu intervenir rapidement lorsque l’alerte a été donnée.

Selon les autorités, il y a quatre blessés graves et un blessé léger, dont deux femmes, qui ont tous été hospitalisés. Quinze personnes ont été traitées sur place pour choc psychologique. Un témoin a parlé de "scène de boucherie" à l’intérieur du train.

L’organisation de l’Etat islamique a affirmé que l’homme qui a commis cette attaque à la hache est un de ses « combattants », selon l’agence Amaq liée à l’EI. L’agresseur avait crié « Allahou Akbar » (« Dieu est grand ») lors des faits. Il est un demandeur d’asile arrivé seul, sans famille, en Allemagne, a précisé le ministre de l’intérieur de Bavière, Joachim Hermann. Il vivait dans la localité d’Ochsenfurt, voisine de l’endroit où se sont déroulés les faits, a-t-il expliqué à la chaîne de télévision publique ARD.

Lu sur Libération

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !