Brexit : coûterait de 0,1 à 0,2 point de PIB à la France, selon Christian Eckert<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Brexit : coûterait de 0,1 à 0,2 point de PIB à la France, selon Christian Eckert
©Capture écran LCI

Budget

Le secrétaire d'Etat au Budget, Christian Eckert, estime que le départ du Royaume-Uni de l'UE pourrait diminuer la croissance française de 0,1 à 0,2 point.

Ce jeudi, Christian Eckert, le secrétaire d'État au Budget, a estimé que le départ du Royaume-Uni de l'Union européenne pourrait avoir des conséquences sur la croissance française. "Une baisse de la croissance et de l'activité en Grande-Bretagne pourrait avoir une conséquence comprise entre 0,1 et 0,2 point de Produit intérieur brut (PIB), comme le disent les spécialistes", a-t-il déclaré sur LCP, en faisant référence à l'importance des échanges commerciaux entre la France et le Royaume-Uni. "Aujourd'hui c'est encore un peu tôt pour le dire, là encore il faudra observer attentivement les choses", a-t-il néanmoins ajouté.

Sapin reste calme

Cependant, selon le ministre des Finances Michel Sapin il n'y a "pas d'inquiétude particulière" à avoir pour la croissance économique française, les moteurs de la reprise en France étant selon lui "internes", à savoir la consommation des ménages et l'investissement des entreprises.

Après un premier trimestre positif, avec 0,6% de croissance du PIB, le gouvernement a revu à la hausse sa prévision de croissance pour 2016 à 1,6%. De son côté, François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France, prévoit 1,4% de croissance en 2016. Il a également indiqué qu'il allait maintenir ce chiffre malgré le Brexit, estimant que l'impact du vote britannique serait "plus modeste" dans la zone euro qu'au Royaume-Uni.

Lu sur L'Express

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !