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Primaires de la gauche : les ténors réagissent et déplacent leurs premiers pions
©Reuters

Ligne de départ

Les différentes personnalités de la gauche ont plus ou moins accueilli la tenue d'une primaire de la gauche. La question des modalités de scrutin va être décisive dans les mois qui vont venir.

Danielle Simonnet (coordinatrice du parti de Jean-Luc Mélenchon) :

Invitée à Samedi Politique, la conseillère de Paris s'est moqué de la primaire organisée par le Parti Socialiste.

"On n'est absolument pas candidat à participer à cette petite primaire de celles et ceux qui sont politiquement compatibles avec les politiques de droite que mène le gouvernement"

"C'est une mascarade. Vous allez avoir un certain nombre de candidats à cette primaire qui vont être là pour préserver leur investiture à la législative"

Jérôme Guedj (PS) :

Le député se félicite d'avoir convaincu les sceptiques.

Jean-Luc Bennahmias  (Front Démocrate) :

Le député européen et président du Front démocrate salue l'initiative de Jean-Christophe Cambadélis.

Karine Berger (PS) : 

Elle souligne son combat pour cette primaire et se félicite d'avoir "réussi à amener tout le monde sur l'organisation de primaires citoyennes".

Christian Paul (PS et tête de file des Frondeurs) : 

Il se réjouit mais demande qu'elle soit ouverte et faite dans les règles.

Sylvia Pinel (PRG) : 

La présidente du Parti radical de gauche s'inquiétait vendredi des modalités de cette primaire. Elle n'a pas encore réagit samedi.

François Kalfon (PS et porte-parole de Arnaud Montebourg) :

Il a réclamé toutes les modalités de 2011 et un filtre pour éviter les trop petites candidatures.

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