Déficit public : la France reste le mauvais élève de l'Europe <!-- --> | Atlantico.fr
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Selon lui, ce recul du déficit, de 7,4 milliards entre 2014 et 2015, se justifie principalement "par la baisse de la charge de la dette de 2,3 milliards d'euros".
Selon lui, ce recul du déficit, de 7,4 milliards entre 2014 et 2015, se justifie principalement "par la baisse de la charge de la dette de 2,3 milliards d'euros".
©Reuters

Peut mieux faire

La France est le pays d'Europe qui a le plus fait reposer la consolidation de ses finances publiques sur la hausse des impôts, selon la Commission des Finances du Sénat.

Selon les conclusions du rapporteur général (LR) de la Commission des Finances du Sénat, Albéric de Montgolfier, cité par Le Figaro, la France est le pays d'Europe qui a le plus fait reposer la consolidation de ses finances publiques sur la hausse des impôts entre 2011 et 2015. Le montant du déficit s'élève à 77,4 milliards d'euros, soit 3,5% du PIB, et reste donc inférieur à l'objectif anticipé de 3,8% 

Dans son rapport sur le programme de stabilité 2016-2019 (document budgétaire qui sera bientôt transmis à la Commission européenne), le sénateur d'Eure-et-Loire, note que cette réduction est "en partie due à des facteurs sur lesquels le gouvernement n'a pas ou peu de maîtrise". 

Selon lui, ce recul du déficit de 7,4 milliards entre 2014 et 2015, se justifie principalement "par la baisse de la charge de la dette de 2,3 milliards d'euros", en lien avec la baisse des taux d'intérêt, et par la chute "des dépenses d'investissement", de 4,1 milliards, notamment dans les collectivités locales.

>>>> À lire aussi : Croissance, déficit, dette… Bercy dévoile ses prévisions pour 2016 et 2017

Lu sur Le Figaro

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