Nuit Debout : Marion Maréchal-Le Pen dénonce une "construction médiatique totalement artificielle"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Nuit Debout : Marion Maréchal-Le Pen dénonce une "construction médiatique totalement artificielle"
©Reuters

Non merci

Selon elle, les participants sont des "jeunes (…) qui fument du pétard, qui défendent les 25 heures en durée légale du travail, qui cassent d'ailleurs à l'occasion."

A droite, le mouvement commence à agacer. Nuit Debout continue de faire des remous et d'essayer de nombreuses critiques. Dernière en date : le départ précipité d'Alain Finkielkraut de la place de la République, insulté et chassé par les partisans de Nuit Debout. Interrogée lors du lors du Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI, Marion Maréchal-Le Pen a donné son avis tranché sur le phénomène. "Je vois là une construction médiatique totalement artificielle, on essaye de faire croire à un grand mouvement citoyen inédit en faisant une espèce de parallèle avec les indignés comme on a pu voir en Espagne" explique-t-elle. "Moi je vois surtout une poignée de professionnels de la politique, de militants associatifs." Et de détailler un peu plus son opinion sur les participants. "C'est un mouvement qui ne représente rien ni personne, c'est un mouvement de jeunes, lycéens, étudiants qui se font plaisir, qui fument du pétard, qui défendent les 25 heures en durée légale du travail, qui cassent d'ailleurs à l'occasion lorsque ça peut leur faire un petit peu plaisir, qui défendent une soi-disant démocratie avec des assemblées générales et qui crachent sur Alain Finkielkraut lorsqu'il se rend à ce type d'événement. Donc sincèrement, moi je n'ai pas de sympathie particulière à l'égard de ce mouvement." Voilà qui est dit.

Lu sur Europe 1

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !