Manuel Valls : "Hollande est la voix de l’intérêt général"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Manuel Valls a accordé une interview au JDD, publiée ce dimanche.
Manuel Valls a accordé une interview au JDD, publiée ce dimanche.
©Reuters

Amen

Dans un entretien au JDD, le Premier ministre estime qu'il n'y a "pas d'alternative à François Hollande à gauche".

Après deux ans à Matignon et à un an de la présidentielle, Manuel Valls ne voit pas d’alternative à François Hollande à gauche. C'est ce qui ressort d'une interview publiée ce dimanche, qu'il a accordée au JDD. Il y explique que "c’est l’intérêt général et l’intérêt de la France qui doivent prévaloir, François Hollande est la voix de l’intérêt général".

Pour le Premier ministre, "celui qui doit incarner cette parole c’est celui qui a été élu par les Français, qui est Président et candidat, s’il le décide. La logique c’est qu’il soit candidat puisqu’il est Président. Ce qui manque c’est l’explication, car les choix qui ont été les siens sont les bons." De toute façon, le Premier explique qu'il "ne pense pas qu’on gagne une présidentielle sur un bilan, ni qu’on la perde sur un bilan. On la perd si on ne se projette pas dans l’avenir, si on n’a pas de vision".

Des primaires ne sont donc pas nécessaires, estime Manuel Valls. "Je ne vois pas d'alternative à François Hollande à gauche", lance-t-il, jugeant le chef de l'Etat "lucide et combatif".  "Nous pouvons convaincre de nouveau, même s’il y a du scepticisme, même si une partie de la gauche ne veut pas gouverner. Les Français se détournent de la politique, à nous de leur redonner envie de croire." 

"Pour lui, beaucoup de choses vont se jouer avant l'été. Il doit agir, nommer les choses, emmener le pays, lui proposer un chemin. La capacité de François Hollande à incarner ce chemin, je la crois intacte et je serai à ses côtés".

Manuel Valls prédit que "la menace terroriste, la crise des réfugiés, les risques pour l'Europe doivent être assumés, saisis, portés" et "seront au coeur de l'élection présidentielle" de 2017. Or, il l'assure : "Seule la gauche est capable d'aider le pays à affronter ces défis".

Lu dans Le JDD

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !