La Pologne compte trois ressortissants parmi les blessés des attentats de Bruxelles.
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Conséquence
Après les attentats de Bruxelles, la Pologne refuse d'accueillir de nouveaux migrants
"Après ce qui s'est passé hier à Bruxelles, il n'est pas possible en ce moment de dire que nous sommes d'accord pour accepter un groupe quelconque de migrants", a déclaré la Première ministre polonaise Beata Szydlo.
Au lendemain des attentats perpétrés à Bruxelles par des kamikazes de l'Etat islamique, la Première ministre polonaise Beata Szydlo a exprimé ce mercredi 23 mars son refus d'accueillir des migrants sur son sol dans le cadre du programme de répartition de l'Union européenne. La Pologne compte trois ressortissants parmi les blessés de ce double attentat.
"Après ce qui s'est passé hier à Bruxelles, il n'est pas possible en ce moment de dire que nous sommes d'accord pour accepter un groupe quelconque de migrants", a-t-elle déclaré sur la chaîne de télévision privée Superstacja. Dans le cadre d'un accord conclu par le précédent gouvernement centriste, Beata Szydlo était jusqu'ici favorable à l'accueil d'environ 7000 migrants.
"Nous sommes obligés de veiller avant tout à la sécurité de nos concitoyens", a-t-elle estimé, appelant à refuser d'accueillir au sein de l'UE "des milliers de migrants qui viennent ici seulement pour améliorer leurs conditions de vie", et parmi lesquels "il y a également des terroristes".
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