Attentats de Paris : Abaaoud aurait bénéficié d'un soutien logistique dans la capitale<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Abdelhamid Abaaoud, instigateur présumé des attentats de Paris.
Abdelhamid Abaaoud, instigateur présumé des attentats de Paris.
©Reuters

Enquête

Les enquêteurs s’interrogent sur l’existence d’une logistique, à Paris, qui aurait organisé les déplacements d’Abaaoud après les attentats du 13 novembre, rapporte Le Parisien ce samedi.

Combien de djihadistes sont encore en liberté en France ? Trois mois après les attentats de novembre, cette question taraude les services de renseignement. 

Dans une enquête publiée ce samedi, le Parisien note ainsi que les enquêteurs cherchent toujours à comprendre comment Abdelhamid Abaaoud, organisateur présumé des attentats de Paris, et son complice se sont déplacés dans la capitale entre le 13 novembre au soir, date des attentats, et le 18 novembre, date à laquelle ils ont été tués dans l'assaut de l'appartement de Saint-Denis.

Le journal note par exemple que le 13 novembre, il n'a fallu que 16 minutes au commando pour rejoindre Aubervilliers depuis le XIe arrondissement, site qu'il était motorisé. De même, leurs mouvements le 15 novembre dans le XIXe arrondissement laissent supposer que les deux djihadistes ont été véhiculés. 

Les enquêteurs s’interrogent sur l’existence d’une logistique, à Paris, qui aurait organisé les déplacements d’Abaaoud après les attentats.

Le journal revient aussi sur l'enquête internationale concernant un second commando. Ce ne sont pas seulement deux terroristes, morts en kamikazes au Stade de France, qui sont rentrés via l'île de Leros, en Grèce, mais au moins quatre, rappelle le journal. Deux nouveaux suspects ont en effet été identifiés après les attaques terroristes de Paris et interpellés en Autriche. Les services de renseignement français sont persuadés qu'ils étaient chargés de frapper un autre pays européen.

Lu dans Le Parisien

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !