Affaire des écoutes de Nicolas Sarkozy : l'annulation partielle a été requise <!-- --> | Atlantico.fr
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Les deux téléphones de Nicolas Sarkozy se trouvaient sur écoute depuis 2013.
Les deux téléphones de Nicolas Sarkozy se trouvaient sur écoute depuis 2013.
©Reuters

Indiscrétions

Les pourvois déposés par l'ancien président de la République, son avocat Thierry Herzog, et le magistrat Gilbert Azibert, seront examinés dès jeudi par la Chambre criminelle de la Cour de Cassation.

La Cour de cassation doit examiner à partir de jeudi la validité de la procédure des écoutes de Nicolas Sarkozy. Selon une information dévoilée ce mercredi par la chaîne iTELE, qui a pu avoir accès à l'avis de l'avocat général, l'annulation partielle des écoutes a été requise. Les pourvois déposés par l'ancien président de la République, son avocat Thierry Herzog, et le magistrat Gilbert Azibert, seront examinés par la Chambre criminelle de la Cour de Cassation. 

"Devant la chambre d’instruction, les trois mis en examen avaient soulevé une série de nullités. Notamment, l’inégalité des écoutes au motif que les conversations entre Nicolas Sarkozy et son avocat devraient être strictement couvertes par le secret professionnel. A une seule exception, toutes les interceptions téléphoniques avaient finalement été jugées exploitables par la chambre d’instruction", rappelle notamment iTELE.

Les deux téléphones de Nicolas Sarkozy se trouvaient sur écoute depuis 2013, dans le cadre de l'enquête sur le possible financement par la Libye de sa campagne présidentielle de 2007. Ces écoutes avaient été prolongées quatre mois après leur mise en place, sur la décision du juge Serge Tournaire, chargé de l'enquête. Entre janvier et février 2014, six conversations entre l'ancien chef de l'Etat et son avocat Thierry Herzog avaient été interceptées par les enquêteurs. 

Lu sur iTélé

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