Nathalie Kosciusko-Morizet pointe des "retards" dans des mesures de sécurité à Paris de la part de la municipalité d'Anne Hidalgo <!-- --> | Atlantico.fr
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"Je ne jette pas la pierre au ministre de l'Intérieur là-dessus", a estimé NKM.
"Je ne jette pas la pierre au ministre de l'Intérieur là-dessus", a estimé NKM.
©Reuters

Accusations

L'ex-numéro deux du parti Les Républicains a estimé : "Il y a des sujets qui ont avancé, et des sujets sur lesquels on est toujours en retard, qui sont souvent des sujets municipaux", lors du "Grand Rendez-Vous Europe 1/Le Monde/iTÉLÉ".

Nathalie Kosciusko-Morizet (Les Républicains) a estimé ce dimanche, concernant la surveillance de Paris : "il y a des sujets qui ont avancé, et des sujets sur lesquels on est toujours en retard, qui sont souvent des sujets municipaux", lors du "Grand Rendez-Vous Europe 1/Le Monde/iTÉLÉ", en cette journée d'hommage populaire aux victimes des attentats.

"Je ne jette pas la pierre au ministre de l'Intérieur là-dessus", a-t-elle ajouté, accusant ainsi la municipalité dirigée par Anne Hidalgo (PS). L'ex-numéro deux des Républicains a présicé quant à la vidéoprotection : "Paris est sous-équipée, y compris par rapport à des grandes villes de province" comme Lyon et Strasbourg, selon elle. "Le métro est très bien couvert mais en surface on n'a pas assez de caméras", qui sont précisément 1.000 actuellement, a-t-elle expliqué.

NKM s'est aussi exprimée pour la mise en place d'une police municipale, "ce qui permet de décharger la police nationale d'un certain nombre de tâches". Et de souligner que "seulement un tiers des lieux accueillant des jeunes enfants sont dotés de dispositifs anti-intrusion". "Nous avons proposé avec le groupe Les Républicains au Conseil de Paris que pour l'année 2016 l'ensemble du budget participatif soit consacré à ces mesures de sécurité d'urgence", a-t-elle rappelé, jugeant qu'"il y a une urgence qui est de se sentir en sécurité".

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