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Attaque de militaires à Valence : l'hypothèse terroriste est "écartée" pour le moment
©Reuters

Voiture bélier

La section antiterroriste du parquet de Paris a décidé de ne pas se saisir du dossier de l'agression de militaires devant la mosquée de Valence.

La section antiterroriste du parquet de Paris a décidé de ne pas se saisir du dossier de l'agression de militaires devant la mosquée de Valence, a annoncé samedi le procureur de la République de la Drôme, Alex Perrin.

L'hypothèse terroriste est "écartée au moins actuellement. Nous verrons ultérieurement si elle devrait se rouvrir", a indiqué le procureur. "En l'état des vérifications que nous avons faites, notamment du résultat des perquisitions, des vérifications informatiques, de ce que nous n'avons pas trouvé sur lui, dans son véhicule, à son domicile, nous n'avons pas d'éléments qui puissent nous rattacher à un réseau terroriste ou à une action terroriste. Cela semble, en l'état, un acte totalement individuel", a-t-il expliqué.

Vendredi en début d'après-midi, un homme d'origine maghrébine a foncé à deux reprises sur quatre militaires en faction devant la grande mosquée de Valence, en criant "Allah est grand". Ceux-ci avaient riposté avant de le neutraliser.  Sérieusement blessé, l'agresseur "a été opéré vendredi soir et devait être entendu par les enquêteurs samedi", a précisé le procureur. Il s'agit "d'un musulman pratiquant, mais pas radical", qui "fréquentait la mosquée de Bron et occasionnellement la mosquée de Valence". "Ses motivations sont pour l’instant inexplicables", a relevé le procureur, notant toutefois que crier "Allah est grand" montre "un lien avec une certaine religiosité".

Lu sur 20 Minutes

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