Quand Patrick Buisson et Philippe de Villiers font les yeux doux à Marion Maréchal-Le Pen...qui résiste<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Quand Patrick Buisson et Philippe de Villiers font les yeux doux à Marion Maréchal-Le Pen...qui résiste
©Reuters

Insensible

La nièce de Marine Le Pen est très courtisée après être arrivée largement en tête en région PACA lors du 1er tour des élections régionales.

Courtisée...mais pas séduite. L’impressionnant score de Marion Maréchal-Le Pen au premier tour des élections régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur (plus de 40% des suffrages) a conduit plusieurs personnalités de la droite "hors les murs" a vouloir s'entretenir avec elle.

Dans son édition du 28 novembre, le magazine l'Express révélait que la petite-fille de Jean-Marie Le Pen avait rencontré Patrick Buisson, et ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, partisan d'une ligne très droitière. Mais selon l'hebdomadaire, la jeune députée n'aurait pas été spécialement convaincue par l'actuel patron de la chaîne Histoire , "retenant certes les compliments, mais aussi le long monologue".

A LIRE AUSSI - La droite "hors les murs" : l’autre contestation à laquelle Nicolas Sarkozy devra faire face au lendemain des régionales

Pas beaucoup plus de succès pour Philippe de Villiers, dont le retour au premier plan de la scène politique survient après le carton de son livre Le moment est venu de dire ce que j'ai vu (chez Albin Michel), et vendu à 107000 exemplaires vendus au 29 novembre, selon Edistat. Mais niveau littérature, Marion Maréchal aurait plus apprécié l'ouvrage de Zemmour, Le Suicide français. En revanche, elle serait intéressé par les conseils de Villiers si elle venait à remporter l’élection dimanche prochain.

Lu sur L'Express

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !