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Greenpeace s’introduit
dans plusieurs centrales nucléaires
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Les infiltrés

L’organisation écologiste a déjoué les dispositifs de sécurité, pour monter qu’il n’y a pas de centrale totalement sûre.

"Le nucléaire sûr n’existe pas". C’était le mot d’ordre de Greepeace lundi matin, et il a été mis en œuvre avec plus ou moins de succès dans plusieurs centrales de France : à Nogent-sur-Seine (Aube), Chinon (Indre-et-Loire), Cadarache (Var) et à Saint-Louis-de-Montferrand (Gironde).

L’action à Nogent-sur-Seine a été rapidement rendue publique. Elle a été mise en avant par Greepenace car la centrale a, selon l’organisation, un caractère symbolique : elle est la plus proche de Paris, à 95 kilomètres de la capitale et de sa banlieue, et leurs 10 millions d’habitants. Greenpeace affirme que es militants sont parvenus à monter sur le dôme d’un des réacteurs de la centrale.

Le ministre de l’Industrie Eric Besson a reconnu que si l’intrusion des militants de Greenpeace était confirmée, cela signifierait qu'il y a eu "dysfonctionnement" et "qu'il faudra prendre des dispositions pour que ça ne se reproduise pas".

Sophia Majnoni, chargée des questions nucléaires pour Greenpeace a elle dénoncé l'audit lancé par le gouvernement sur la sécurité des centrales nucléaires, qui est à ses yeux "une opération de communication qui ne prend en compte que les risques déjà identifiés dans le passé et ne tire pas les leçons de Fukushima".

Lu sur TF1 News

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