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Migrants : Sarkozy dénonce la "brutalité" de Marine Le Pen et "l'inconséquence" de François Hollande
©Reuters

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L'ancien président de la République, en déplacement dans le Doubs, a rappelé qu'il avait demandé, pendant la campagne de 2012, un renforcement de Schengen.

En déplacement dans le Doubs avant de rejoindre La Baule, où Les Républicains sont rassemblés ce weekend, Nicolas Sarkozy a réagit à la crise migratoire qui touche l'Europe.

L'ancien président de la République a critiqué ses deux principaux rivaux, Marine Le Pen et François Hollande. Il dit avoir eu "honte" de la brutalité de la présidente du FN. "Quelle absence du moindre sentiment ! Nous parlons d'êtres humains. Nous sommes des êtres humains. Nous avons des racines chrétiennes. Qui n'a pas été bouleversé par ces images. On n'a vraiment pas envie de faire partie de la famille Le Pen", a-t-il déclaré.

Il a ensuite critiqué vertement l'attitude de François Hollande. "C'est un homme ballotté. Un homme perdu", a-t-il lancé.

Nicolas Sarkozy a rappelé qu'il avait demandé, pendant la campagne de 2012, un renforcement de Schengen et qu'il était favorable à une intervention en Syrie dès juillet 2012, "pour éviter le renforcement des islamistes face à Bachar el-Assad".

Tout en disant qu'il "ne saurait être question" de remettre en cause l'asile politique, il a expliqué qu'il fallait "rejeter la fraude à l'asile politique".Il a proposé de créer des "centres de rétention des réfugiés politiques" dans les pays sources. "Je souhaite qu'on soit généreux avec les syriens et ferme avec les émigrés économiques", a-t-il dit.

Lu dans Le Figaro

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