François Hollande :"Nous devons nous préparer à d'autres assauts"<!-- --> | Atlantico.fr
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"L'agression qui s'est produite vendredi aurait pu dégénérer en un carnage monstrueux" a rappelé François Hollande.
"L'agression qui s'est produite vendredi aurait pu dégénérer en un carnage monstrueux" a rappelé François Hollande.
©Reuters

Terrorisme

Quatre jours après l'attaque évitée de justesse dans le Thalys, François Hollande a évoqué la menace terroriste en France devant de nombreux diplomates.

Dans un discours prononcé ce mardi lors de la Semaine des Ambassadeurs au Quai d'Orsay, le chef de l'Etat a rappelé devant de nombeux diplomates que le menace terroriste en France doit être prise très au sérieux. Quatre jours après l'attaque évitée de justesse dans le Thalys, François Hollande a déclaré : "Nous devons nous préparer à d'autres assauts et donc nous protéger. Nous sommes toujours exposés et l'agression qui s'est produite vendredi aurait pu dégénérer en un carnage monstrueux (...) Notre sécurité se joue d'abord à l'intérieur de nos frontières, ce qui nous a conduit à décider de l'opération Sentinelle (...) Daech est le plus grand danger. Cette organisation enrôle, endoctrine, encadre pour tuer à une plus grande échelle".

Au lendemain des attentats du 11 janvier, le président avait décidéde mettre en place un dispositif militaire exceptionnel. Celui-ci implique de mobiliser plus de la moitié des troupes françaises dans l'hexagone. 

François Hollande a particulièrement ciblé l'organisation terroriste Boko Haram au Nigeria mais aussi le président syrien Bachar el-Assad qu'il continue de qualifier de dictateur. Dans son discours prononcé lundi 24 août à l'occasion de la remise de la légion d'honneur à trois américains et un britannique qui avaient empêché l'attaque du Thalys, le chef de l'Etat avait repris une réthorique néoconservatrice en opposant les forces du "bien " à celles du "mal".

Lu sur FranceTvInfo

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