Isabelle Prime : "La France n'a jamais lâché aucun de ses compatriotes"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Isabelle Prime : "La France n'a jamais lâché aucun de ses compatriotes"
©REUTERS/Christian Hartmann

Le retour tant attendu

"Nous sommes très heureux d'accueillir Isabelle chez elle. Elle était au Yémen pour une action qui honorait la France" a rappelé François Hollande.

Isabelle Prime, l'otage française retenue au Yémen depuis plusieurs mois est arrivée en France ce vendredi soir vers 19 h et a été accueillie par ses proches et François Hollande. "On est restés jusqu'au bout parce qu'on travaillait sur le système de protection sociale, a-t-elle expliqué aux médias [...] On était sur le point de partir, ça s'est joué à deux semaines. J'ai suivi les conseils de l'ambassade de France. La France est toujours là quand il y a d'énormes problèmes comme celui-ci". Très fatiguée, Isabelle Prime a confié combien elle avait confiance en la France qui n'a "jamais lâché aucun de ses compatriotes" et s'est réjouie d'être de retour dans son pays.

De son côté, le président de la République a souhaité la bienvenue à la jeune femme et rendu hommage à toutes les personnes qui ont permis cette libération : "Nous sommes très heureux d'accueillir Isabelle chez elle. Elle était au Yémen pour une action qui honorait la France. Elle était au service d'un pays, le sien d'abord, mais un pays, le Yémen, pauvre, et elle voulait être utile. Elle a été retenue cinq mois. Elle a été très courageuse. Je veux saluer ceux qui ont contribué à cette libération. D'abord, le Sultan d'Oman, que j'ai appelé au téléphone pour lui dire la reconnaissance de la France pour ce qu'avait fait le sultanat d'Oman" pour aider à cette libération. Je veux saluer aussi les services français qui travaillent dans l'ombre pour obtenir ces résultats".

François Hollande a également appelé les Français à se montrer prudents lorsqu'ils se rendent dans des zones aussi sensibles.

Lu sur Ouest France

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !