Grèce : Alexis Tsipras et ses créanciers ne trouvent pas d'accord<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Europe
Grèce : Alexis Tsipras et ses créanciers ne trouvent pas d'accord
©Reuters

Nada

Le climat a été jugé globalement "constructif et positif", mais des divergences demeurent entre Athènes d'un côté et ses créanciers, UE et FMI, de l'autre.

Rien. Aucun accord n'a été trouvé à l'issue du dîner de mercredi qui a réuni à Bruxelles le Premier ministre grec Alexis Tsipras, le patron de la Commission Jean-Claude Juncker et le chef de l'Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem. La Grèce et ses créanciers se trouvent donc dans l'impasse : impossible de se mettre d'accord sur les réformes à installer dans le pays. Malgré la déception, les participants sont restés optimistes. Le climat a même été jugé globalement "constructif et positif", mais des divergences demeurent entre Athènes l'UE et FMI, notamment.

Selon la presse grecque, le plan proposait par Tsipras a inclu une réforme de la TVA, l'unification graduelle des caisses de retraite, la suppression des retraites anticipées et une accélération des privatisations. De leur côté, les Européenns avaient rédigé un programme très "strict". Un plan que la Grèce n'a pas accepté. Dans le plan des créanciers, "il y a des points que personne ne peut considérer comme une base de discussion" a lancé Tsipras ajoutant que "le résultat est que la proposition grecque reste la seule proposition réaliste sur la table".

"On savait que Tsipras ne pouvait pas dire oui au paquet tel quel" a dit une source proche des négociations. Mercredi, Angela Merkel et François Hollande se sont entretenus avec Alexis Tsipras pour tenter de le convaincre. Mais ils se sont "juste" mis d'accord sur "la nécessité d'une solution immédiate". "Les jours qui viennent sont décisifs" a prévenu le président français. De son côté, le président de la BCE, Mario Draghi, a exigé un "accord solide". Il va encore falloir attendre. La suite, ce jeudi.

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !