Syrie : l'Etat islamique a tué au moins 17 personnes à Palmyre <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
L'Etat islamique a pris cette semaine le contrôle de la cité antique de Palmyre, classée au patrimoine mondial de l'Unesco.
L'Etat islamique a pris cette semaine le contrôle de la cité antique de Palmyre, classée au patrimoine mondial de l'Unesco.
©capture d'écran Live Leak

Exécutions

Lors de son arrivée au sommet européen de Riga en Lettonie, François Hollande a appelé ce jeudi à "agir" face au "péril" terroriste dans lequel se trouve la région depuis la percée de l'Etat islamique.

Selon les informations rapportées ce jeudi par l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), les membres de l'Etat islamique ont exécuté au moins 17 personnes à Palmyre, après avoir pris le contrôle de la ville. Les victimes (dont certaines auraient été décapitées) sont des membres des forces de sécurité syriennes, des partisans du gouvernement, mais aussi des civils affirme l'OSDH. 

D'après l'OSDH, basé à Londres mais qui compte de nombreux informateurs sur place, les djihadistes de l'Etat islamique ont tué au total 49 personnes dans la région depuis leur progression vers la cité antique de Palmyre, classée au patrimoine mondial de l'Unesco.

Lors de son arrivée au sommet européen de Riga en Lettonie, François Hollande a appelé ce jeudi à "agir" face au "péril" terroriste dans lequel se trouve la région depuis la percée de l'Etat islamique. "Nous devons agir, parce qu'il y a un péril des monuments qui sont inscrits au patrimoine de l'humanité et en même temps nous devons agir pour lutter contre Daech" a déclaré le président de la République. Il faut "trouver une solution politique en Syrie et c'est ce que fait la France et ce qu'elle fait depuis longtemps" a poursuivi François Hollande.

Lu sur Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !