UMP : Hervé Mariton juge qu'avec "Nicolas Sarkozy on a une séquence nostalgie mais cela ne suffit pas"<!-- --> | Atlantico.fr
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Hervé Mariton est candidat à la présidence de l'UMP
Hervé Mariton est candidat à la présidence de l'UMP
©. REUTERS/Charles Platiau

De l'avant

Invité de RTL ce mardi matin, le candidat à la présidence de l'UMP a rappelé ses ambitions pour son parti.

Hervé Mariton a montré sa détermination ce mardi matin sur RTL. Pour lui, il faut un projet "vigoureux pour l'UMP". Le candidat à la présidence du parti a rappelé ses convictions. Extraits.

La présidence de l'UMP

"Mon projet est différent car le fond est au centre de mon projet. Réussir, cela fait fort longtemps que l'on n'y est pas parvenu.(...) Nicolas Sarkozy a fait des choses positives mais aussi des erreurs. N'ayant jamais été son ministre, j'ai de la liberté dans le débat. Nous avons besoin d'un projet vigoureux. Avec Nicolas Sarkozy on a une séquence nostalgie mais cela ne suffit pas. Quant à l'autre canddidat (NDLR : Bruno Le Maire), il se trompe d'enjeux. Il faut un projet vigoureux sur les questions de société, économiques et politiques. Je suis favorable au droit du sang, je suis favorable à la fin des 35 heures. Je l'assume".

"Les militants sont au centre du parti. Il faut des référendums certes mais qu'ils soient utiles. Je ne changerai pas le nom de l'UMP. (...) Je suis le candidat des convictions".

L'affaire Bygmalion

"Je connaissais le nom de Bygmalion mais je n'ai jamais travaillé avec eux. Ceux qui disent ne pas le connaître, il ne faut pas les croire. Je crois Nicolas Sarkozy sur beaucoup de choses mais pas sur ça".

Son opposition au mariage pour tous

"Je suis contre le mariage de personnes de même sexe mais pour une alliance civile. Le mariage inclut la filiation mais la filiation implique la GPA et la PMA. Je ne veux pas qu'il y ait mariage. Des Etats sont revenus en arrière. Une conviction solide ne se dissout pas. Je veux qu'on ait le courage de revenir en arrière parfois. C'est nécessaire".

Gilles Carrez en délicatesse avec le fisc

"Gilles carrez doit payer ce qu'il doit, s'il y a eu une erreur, elle doit être réparer. C'est à lui d'en parler avec le fisc et ce n'est pas aux hommes politiques de commenter. Dans son cas, je considère qu'il n'y a pas de fraude. Je ne veux pas que la politique se transforme en théâtre permanent".

Lu sur RTL.fr

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