Clash Bernard Tapie / Audrey Pulvar : les protagonistes s'expliquent<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Bernard Tapie face à Audrey Pulvar
Bernard Tapie face à Audrey Pulvar
©Capture écran Itele

Sportif

Dimanche soir, l'homme d'affaires, invité sur iTélé, a refusé de répondre à plusieurs questions de la journaliste, notamment l'affaire Adidas.

Après la bataille, les explications. Dimanche soir, Bernard Tapie et Audrey Pulvar se sont livrés à de vifs échanges sur le plateau de 18H Politique sur iTélé. C'est l'affaire Adidas qui a mis le feu au poudre. Questionné sur cette affaire judiciaire, l'homme d'affaires a fait savoir de manière assez virulente à la journalsite qu'il refuserait de se soumettre à ses questions. 

Lundi, les deux protagonistes se sont expliqués par médias interposés. C'est d'abord Audrey Pulvar qui est revenue sur ce clash sur le plateau du Grand 8, où elle est chroniqueuse.  Bernard Tapie reprochant à la journaliste que si elle connaissait le droit, elle ne le ferait pas parler d'une affaire en cours, Audrey Pulvar a expliqué que "lui n'est pas tenu au secret de l'instruction. Il peut parler de l'affaire. Ce sont les juges qui sont tenus au secret de l'instruction." Ajoutant que Bernard Tapie et lui s'étaient parlés au téléphone pour préparer l'interview. "Lui m'a toujours dit 'Vous posez toutes les questions que vous voulez'".

De son côté, l'homme d'affaires a raconté sa version dans le Point, tout en continuant à tacler la journaliste. Il assure n'avoir rien contre elle. "Audrey, c'est une femme que j'aime beaucoup. (…) Je n'ai rien à lui reprocher. Elle a eu envie de faire sa maligne." Se qualifiant de "salaud", Bernard Tapie a assuré "s'être contenté de lui donner une leçon de droit". 

Lu sur le Point

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !