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Montpellier : quatre cas autochtones de chikungunya détectés
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Sans bouger

Les personnes concernées ont été atteintes par la maladie sans visiter de pays où l'épidémie est particulièrement présente : une progression de ce virus sur le territoire français est donc envisageable.

Le retour d'un virus dont on avait presque oublié le nom... Si aucune information n'a encore été communiquée sur le niveau de gravité dans lequel se trouvent ces quatre patients, c'est bien à Montpellier qu'ils auraient contracté le chikungunya, révèle ce mardi France 3 Languedoc-Roussillon. 

Si le chikungunya n'est pas un virus mortel, aucun traitement n'est encore disponible pour combattre cette maladie particulièrement éprouvante pour les malades, qui peuvent toutefois en guérir en deux semaines.

Les quatre patients de Montpellier ont été victimes d'une transmission "autochtone" de la maladie : Il n'ont pas été contaminés dans un pays étranger mais certainement après avoir été piqués par un moustique-tigre, désormais présent dans 18 départements du sud de la France. 

Plus d'informations devraient être apportées à partir de 16 heures lors de la conférence de presse de l'Agence régionale de santé (ARS).

Lu sur Le Figaro

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