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Assurance chômage : des négociations "le moment voulu" mais "pas immédiatement" selon l'Elysée
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Dimanche, Emmanuel Macron a relancé la polémique sur l'indemnisation des chômeurs. La gauche est divisée sur le sujet.

Emmanuel Macron a lancé un ballon d'essai qui ne laisse personne indifférent. Dimanche, dans le JDD, le ministre de l'Economie a en effet relancé la polémique sur l'indemnisation des chômeurs, en qualifiant la réforme de l'assurance-chômage "d'insuffisante", et surtout en indiquant que "l'État peut aussi reprendre la main si les blocages sont trop lourds". Très divisée sur le sujet, la gauche a réagi. La plupart des socialistes a dénoncé cette sortie estimant que le nouveau ministre était allé "trop loin".

Ce lundi matin, l'Elysée tente d'éteindre le début d'incendie et a fait savoir qu'il y aura des négociations "le moment voulu" mais "pas immédiatement" sur le dossier de l'assurance chômage. "S'agissant de l'assurance chômage, il y a bien un problème de déficit, mais la négociation sur le sujet viendra le moment venu, pas immédiatement" a indiqué l'Elysée ajoutant que cette "question relève de la responsabilité des partenaires sociaux en lien avec l'Etat".

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Najat Vallaud-Belkacem a défendu Emmanuel Macron ce lundi matin sur iTélé. "Je trouve qu'on lui fait beaucoup de procès en sorcellerie. (...) Il ne compose pas, il parle avec clarté et il appelle un chat un chat" a-t-elle lancé. Une position qui n'est pas celle de certains autres ministres. 

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