Conférence de presse de François Hollande : après une rentrée désastreuse, le président joue gros <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Conférence de presse de François Hollande : après une rentrée désastreuse, le président joue gros
©

Exercice périlleux

Le chef de l’Etat rencontrera, à 17h00 ce jeudi, quelque 350 journalistes pour la quatrième conférence de presse semestrielle de son quinquennat.

C’est un moment décisif pour le président. Après une rentrée difficile marquée par son impopularité record, un taux de chômage catastrophique, une croissance économique insuffisante, une majorité affaiblie, et une vie privée déballée sur la place publique, l’image politique et personnelle de François Hollande est abîmée. Cette quatrième rencontre avec la presse est donc l’occasion pour lui de tenter de regagner la confiance des Français.

La conférence de presse débutera un peu plus tardivement que lors de ses précédentes éditions, à 17H00, "pour trouver un bon équilibre entre les audiences télévisées plus fortes aux abords du journal télévisé de 20 heures et le bouclage des journaux", a indiqué l'Elysée.

D’après des sources proches, François Hollande devrait dresser "un bilan rapide avant de fixer les perspectives de travail de l'exécutif pour les prochains mois et de les inscrire en perspective dans la deuxième partie du quinquennat". Le président devrait donc garder le cap du "pacte de responsabilité", qui avait été annoncé à l'occasion de la précédente conférence de presse semestrielle, le 14 janvier dernier.

Outre les questions d'ordre sociétale et économique, le chef de l’Etat devrait également être interrogé sur le livre de son ex-compagne Valérie Trierweiler et l’expression des "sans-dents" qu’il utiliserait pour qualifier les pauvres.

Enfin, un autre thème pourrait être mis sur la table : le retour de Nicolas Sarkozy, qui a été annoncé pour la fin de semaine. Selon le secrétaire d'Etat Jean-Marie Le Guen, cela pourrait s'avérer être un élément perturbateur pour la gauche, qui ne sera plus "seule sur le ring".

lu sur l'express

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !