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Vote de confiance : les "frondeurs" vers une abstention collective
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L'histoire se répète

C'est l'un des chefs de file de ce mouvement de parlementaires, Christian Paul, qui l'a annoncé ce mardi.

Les "frondeurs" vont-ils, ce coup-ci, aller au bout de leur démarche ? Après le flop du vote du projet de loi de finances rectificative, qui avait vu ces mêmes députés se ranger finalement derrière leur parti, c'est au tour du vote de confiance du gouvernement Valls 2 du 16 septembre prochain d'être mis dans la balance.

C'est l'un des chefs de file des "frondeurs", Christian Paul, qui l'a officialisé ce mardi : "nous nous orientons vers une abstention collective", mettant en péril le résultat final. "Il n'est pas possible d'imposer au groupe #PS une unanimité de façade" a-t-il ajouté devant un parterre de journalistes.

Le vote des écologistes, autres alliés originels de la majorité, risque également de peser lourd dans la balance : Cécile Duflot a d'ores et déjà annoncé qu'elle ne voterait pas la confiance, probablement suivie par des députés de son groupe ainsi que par les parlementaires du Front de Gauche.

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