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Affaire Bygmalion : Copé dénonce des "allégations amalgamées et mal vérifiées", Lellouche se défend
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Suite (et sans doute pas fin)

Suite à la publication de nouveaux éléments dans l'affaire Bygmalion par "Libération", le président de l'UMP a lancé la contre-attaque.

Des "allégations", "amalgamées et mal vérifiées" : le président de l'UMP Jean-François Copé réagit vivement au papier de "Libération", daté de ce jeudi. Le quotidien assure dans son édition de jeudi que l'UMP a versé pendant la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012 près de 20 millions d'euros à une filiale de Bygmalion, inclus l'organisation d'événements... fictifs : "On approche des européennes, on nous a fait ça avant les municipales avec les mêmes allégations, le tout mélangé, amalgamé, mal vérifié" a réagi le principal intéressé.

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L'ancien ministre Pierre Lellouche, interrogé par le quotidien pour l'animation d'une conférence considérée comme fictive - "Je suis tout à fait étonné. En plus, le crédit n'est pas du tout mon thème de prédilection !", a-t-il réagi à Libération - réagit également : "Je conteste formellement avoir été associé et encore moins avoir été la cause d'une facture". Valérie Pécresse, interrogée sur iTele, notait de son côté que "ce sont les Français qui financent les partis politiques, par leurs impôts ou par leurs dons" et sommé le président de son parti de répondre - ce qu'il a donc fait ce midi.

Le porte-parole du PS, Carlos Da Silva estime quant à lui que Jean-François Copé doit des explications aux Français suite aux facturations fictives dont l'accuse Libération.

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