Son amant mis en examen pour assassinat<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Son amant mis en examen
pour assassinat
©

Affaire Anne Caudal

A l'information judiciaire ouverte mi-juillet pour " séquestration et arrestation illégale ", s'ajoutent désormais les qualifications d'"assassinat" et de "destruction et dissimulation de preuves."

[Mis à jour à 13h50]

Le meurtrier présumé d'Anne Caudal a été mis en examen et écroué pour "assassinat", ce jeudi par le juge d'instruction du palais de justice de Rennes.

[Mis à jour à 11h30]

Les deux suspects dans l'affaire du meurtre d'Anne Caudal ont été transférés devant le juge d'instruction du palais de justice de Rennes. La jeune femme âgée de 28 ans, avait disparu le 8 juillet dernier, sans laisser la moindre trace. Toutefois, selon le procureur de Rennes, un corps en partie calciné, découvert à une quinzaine de kilomètres au sud de Rennes serait «sans doute» le sien.

L'amant de la jeune femme, enceinte de trois mois au moment de sa disparition, ainsi que son ex-épouse, ont été mis en examen mardi matin, en raison de nombreuses incohérences dans leurs déclarations, selon le parquet. Ainsi, à l'information judiciaire ouverte mi-juillet pour " séquestration et arrestation illégale ", s'ajoutent désormais les qualifications d'"assassinat" pour le compagnon d’Anne Caudal âgé de 42 ans, et de "destruction et dissimulation de preuves" pour son épouse.

Un témoignage a été déterminant pour confondre le couple. Deux témoins auraient vu « un véhicule autour d'un étang » à Nouvoitou, lieu où a été retrouvé le corps d'Anne Caudal, et relevé l'étrange ballet de ses occupants.

Par ailleurs, selon les dernières avancées de l'enquête, des éléments matériels ont été retrouvés dans les véhicules du couple, notamment des traces ADN qui suggèrent qu'ils ont servi à transporter le corps. D'après l'un des enquêteurs en charge de l'investigation, «l'affaire paraît bien calée».

Lu sur Europe1.fr

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !