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Zapping politique du jour : Marine Le Pen, Désir, Cazeneuve... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce vendredi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur sur Europe 1

"Mon objectif, c’est de faire en sorte qu’il n’y ait pas de zone de relégation. Qu’il n’y ait aucun point du territoire où la sécurité n’est pas assurée. Je souhaite aussi être le ministre de l’apaisement. La sécurité, c’est l’apaisement. Le ministre de l’Intérieur, c’est aussi le ministre de l’Etat, le ministre de l’apaisement". 

La vidéo du jour : Harlem Désir, premier secrétaire du Parti socialiste


L'essentiel de ce vendredi matin

Marine Le Pen, présidente du Front national, sur RTL

La suite des Municipales ? "Ils vont apporter une bouffée d'oxygène et faire baisser l'endettement. Ils vont apporter des solutions nouvelles et de la bonne gestion ce qui n'est pas toujours possible avec des élus PS et UMP. Ils vont comprendre les problèmes des Français et oeuvrer pour faire baisser les impôts des Français. (...) Il ne faut pas qu'ils fassent les mêmes erreurs qu'en 1995 c'est à dire ne pas faire que ces villes soient des vitrines idéologiques".

Gouvernement ? "Ce n'est pas vraiment de la nouveauté. Le PS fait du recyclage avec Mme Royal ou Mr Sapin qui étaient déjà aux mêmes postes en 1992, rendez-vous compté ! (...) Il faut supprimer l'écotaxe. Si le gouvernement ne le fait pas, il se prépare des jours difficiles car il y a toujours une colère. La révolte renaîtra. C'était en tout cas malhonnête de l'avoir suspendu durant la campagne. On ne peut pas lutter contre la pollution en tuant les moyens de production"

L'objectif des élections européennes ? "Je veux arriver en tête pour donner un signal donné au gouvernement et dire que les Français ne veulent plus de cette union européenne qui a fait augmenter le chômage et la pauvreté. Il faut sortir de cet euro nationalisme. Chaque nation si elle avait la maîtrise de sa monnaie et de son économie s'en sortirait beaucoup mieux". 

Sa condamnation hier pour faux tract ? "Ce qui est grave c'est qu'à fait le tribunal de Béthune car il n'a pas jugé avec impartialité. Il ne s'agit pas d'un faux tract. II s'agit de lâcheté de Mr Mélenchon. Il n'a pas assumé ce qu'il a dit".

Cécile Duflot, ex-ministre écologiste du Logement, dans Libération

Son départ du gouvernement ? "Depuis des mois, je réclamais un changement de cap. J'ai cru que la défaite obligerait l'exécutif à bouger. (...) La seule réponse apportée a été un casting et l'affirmation, par le nouveau Premier ministre, de la continuité. J'ai dû en tirer les conséquences. Être ministre, ce n'est pas un titre, c'est avoir les moyens de changer les choses. Le choix était entre une social-orthodoxie et la social-écologie"

"Choisir la social-écologie, cela veut dire ne pas seulement préserver un modèle obsolète, mais préparer un avenir intense en emplois, où l'on produit et consomme différemment. Pour cela, il faut que l'objectif soit partagé, piloté par une équipe cohérente qui lui donne de la crédibilité".

Son avenir ? "Je veux jouer pleinement mon rôle comme députée de la majorité. (...) Je ne crois pas à la guerre des gauches, cela conduit à l'échec. Ouvrons les yeux sur ce qui s'est passé aux municipales ! Je veux participer à une réponse collective sur un projet qui sorte de nos habitudes. Pas à une soi-disant opposition de gauche stérilisante."

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