Zapping politique du jour : Nathalie Kosciusko-Morizet, Fabius, Morin... Tout ce qu'il faut retenir<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Zapping politique du jour : Nathalie Kosciusko-Morizet, Fabius, Morin... Tout ce qu'il faut retenir
©Reuters

A ne pas rater

Atlantico.fr vous propose ce vendredi de retrouver les meilleurs moments de l'actualité politique.

La phrase du jour : Hervé Morin, UDI, sur RTL

"L'affaire Buisson n'est pas l'expression d'un système ou je ne sais quoi qui qualifierait la présidence de Nicolas Sarkozy, c'est plutôt "l'expression d'une crise morale et politique, une crise démocratique qui secoue le pays depuis plusieurs années"

La vidéo du jour : Pierre Lellouche, député UMP, sur iTélé


L'essentiel de ce vendredi matin

Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la mairie de Paris, sur Europe 1

Ses relations avec Patrick Buisson ? "Je ne me suis jamais entendue avec Patrick Buisson. J’avais un désaccord de fond avec sa ligne. C’est une ligne que j’ai combattue au cœur de la campagne présidentielle. Je ne crois pas qu’il doit y avoir une continuité entre la droite et l’extrême droite. Je n’avais jamais cru qu’un horizon souhaitable pour la droite soit la fusion des droites. J’ai même écrit un livre pour le dire : le Front antinational".

L'affaire Copé ? "Franchement, j'en ai un peu assez qu'on parle de ça tout le temps. Je ne m'occupe pas de cette partie là, mais je n’ai pas de raison de ne pas croire Jean-François Copé. Il a d’ailleurs annoncé qu’il portait plainte. Il aura à cœur de démontrer toute sa bonne foi".


Nathalie Kosciusko-Morizet, invitée d'Europe 1par Europe1fr

Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, sur France Info

"Il y a encore des moyens d'empêcher ce qui se passe en Ukraine. Une première salve de sanctions a eu lieu hier. S'il n'y a pas de changements, il y aura des conséquences graves. Dans une hypothèse extrême, nous n'aurions plus les mêmes relations avec la Russie. Mais je plaide pour la désescalade. Sur le plan économique, la Russie serait durement touchée en cas d'aggravation de la situation en Ukraine. Je reste positif et j'espère qu'une solution diplomatique sera trouvée".

"Je pense que les Russes doivent comprendre qu'il faut revenir à une diplomatie normale. Il faut arrêter de violer l'intégrité territoriale de l'Ukraine. (...) Nous avons pris la décision de ne pas aller, nous les hommes politiques à Sotchi pour l'ouverture des Jeux paralympiques mais nous voulions que les athlètes participent. Il n'était pas question d'un boycott de leur part".

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !