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Politico scanner
De la Gauche plurielle à l’Alliance populaire, le potentiel électoral du je-t’aime-moi-non-plus du PS, des Verts et du PC
Après la gauche plurielle de Jospin ou l’Union de la gauche de Mitterrand, Jean-Christophe Cambadélis devrait lancer mi-février l’Alliance populaire de la gauche pour mettre le cap sur la présidentielle de 2017. Reste que les alliances risquent d'être beaucoup plus fragiles que celles du passé, et pour cause : le contexte social et politique est bien différent.
Droite plurielle ?
L’UMP déchirée face à la menace FN : le parti a-t-il des leçons à tirer du programme commun PS-PC de 1972 ?
Les résultats des élections partielles dans le Doubs ont obligé l'UMP à envisager une alliance avec le FN. Une situation qui n'est pas sans rappeler le Programme commun, permettant à François Mitterrand de siphonner un Parti communiste "anti-républicain".
Acouphènes
Le pouvoir des Verts est-il autre chose qu'un pouvoir de nuisance ?
Le sénateur écologiste Jean-Vincent Placé a appelé mardi 22 octobre à ce que les manifestations de soutien à Leonarda reprennent.
Défiance
Quelle est la capacité de nuisance des alliés de gauche du PS ?
Jean-Luc Mélenchon et Le Front de gauche, qui dénoncent les orientations du gouvernement Ayrault, ne devraient pas accorder leur confiance au Premier ministre après sa déclaration de politique générale, ce mardi. Un signe de défiance qui pourrait avoir des conséquences politiques à long terme.
Babordage
Oubliez la “gauche plurielle”, place à la “gauche au singulier” qui gouverne sans ses alliés
Les communistes ne participeront pas à la nouvelle équipe du Premier ministre Jean-Marc Ayrault. François Hollande qui dispose de la majorité absolue à l'Assemblée nationale semble opter pour un remaniement a minima. "La gauche plurielle" du gouvernement Jospin n'est plus qu'un lointain souvenir.
Paradoxe électoral
UMP : malgré la défaite de Sarkozy, le résultat de ce 1er tour valide la stratégie de sa campagne présidentielle
La France n’a pas basculé à gauche avec l’élection de François Hollande. Le 1er tour des législatives confirme donc que les « idées de droite » restent majoritaires dans le pays, mais les Français pensent aussi que, dans un contexte difficile, l’instabilité institutionnelle serait néfaste.