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Affaire Merah : les familles des premières victimes du terroriste déçues par le gouvernement
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Le père du jeune soldat français tué par le terroriste Mohamed Merah il y a quelques mois n'a pas pu rencontrer Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense comme cela était pourtant prévu.

Une fois encore, vendredi dernier, Albert Chennouf-Meyer, le père d’Abel Chennouf, jeune soldat français ayant servi en Afghanistan assassiné par Mohamed Mérah à Montauban en mars dernier, a subi un camouflet de la part du gouvernement français : son entretien prévu avec Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a en effet été annulé alors qu’il comptait beaucoup sur ce rendez-vous pour sensibiliser les pouvoirs publics à ses demandes.

Ce retraité d’origine algérienne souhaite notamment la déclassification des documents liés à l’affaire et que les militaires tués par Merah soient officiellement considérés comme « morts pour la France ». Pour la première fois, les familles de victimes du « tueur au scooter » préparent une initiative commune dirigée vers le Président de la République, François Hollande, afin que leurs requêtes soient sérieusement étudiées. 

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