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Gangrené par l’islamisme, martyrisé par le terrorisme, abîmé dans ses valeurs : il y a quelque chose de pourri dans le royaume de France...
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Bonnes feuilles

Dans la nuit du 3 au 4 avril 2017, à Paris, Sarah Halimi est battue à mort avant d’être défenestrée. Malgré des preuves flagrantes, il aura fallu près d’un an pour que la justice retienne le caractère antisémite de l’acte. Pire encore, ce crime a longtemps été occulté par les médias. Pourquoi ce silence ? Quelle est cette gêne pour nommer la nouvelle haine des Juifs ? Extrait de "Le Nouvel Antisémitisme en France" chez Albin Michel (2/2).

Il y a quelque chose de pourri dans le royaume de France. Le pays est gangrené par l’islamisme qui l’a élu terre de djihad, il est martyrisé par le terrorisme, abîmé dans ses valeurs et son mode de vie, mais rien n’y fait, la France laïque et bêtement généreuse maintient la ligne, elle protège et promeut l’islam, cheval de Troie de l’islamisme, et honore grassement différents groupuscules, qui se sont autoproclamés gouverneurs de l’islam de et en France. Quel formidable succès pour eux, en peu de temps ! Encore une marche ou deux et ils seront les maîtres du pays, de très méchants maîtres, on peut s’en douter.

Librement ou contraint et forcé, par opportunisme ou par bêtise, ou tout simplement à son insu, on ne sait trop, l’État français s’est inscrit dans cette division du travail. Il participe à sa manière et selon ses moyens au plan de conquête de la planète par la soumission de ses habitants à l’islam. Le point de non-retour n’est plus loin d’être atteint… peut-être même a-t-il été franchi puisque tout va à son rythme, fervent et violent.

L’antisémitisme français traditionnel qui avait reflué dans les marges obscures de la société reprend du poil de la bête à la faveur de la montée vertigineuse de l’antisémitisme islamique. Quand l’orage est là, les vents soufflent tous dans la même direction. L’antisémitisme islamique, c’est de la haine pure, une obligation dogmatique conforme, rémunérée par des jouissances suprêmes, mais c’est aussi de la politique, des affaires. À ce train, il deviendra rapidement la valeur centrale de la France, sa colonne vertébrale. Il l’est dans certaines enclaves où on ne vit plus que dans et par la haine bienheureuse du juif.

L’assassinat de Sarah Halimi s’inscrit dans ce cadre d’évolution. Sa mort était en quelque sorte programmée. La France étant élue terre de djihad, il y a comme une fatwa naturelle sur la tête de tous les juifs de ce pays. Il y a eu Ilan Halimi à Bagneux, les enfants de l’école Hozar Hatorah à Toulouse, les clients de l’Hyper Cacher à Paris, c’était le tour de Sarah Halimi, et demain d’autres seront la cible de l’antisémitisme islamique. Un jour, il y aura des massacres de masse, préfigurant ce à quoi beaucoup rêvent  : la grande extermination finale. Le rêve est déjà là, implanté, il travaille les esprits. La France ne le voit pas, elle refuse de comprendre qu’en la matière le rêve fait partie de la réalité, il la conçoit, l’annonce, la magnifie, l’organise, la développe. Mais voilà, la France n’a jamais été très forte pour voir arriver les tempêtes. Quand elle dessille, elle est déjà sinistrée, jetée sur les routes de la défaite.

Revenons à Sarah Halimi pour voir que dans cette affaire, il n’y a pas que l’antisémitisme islamique. Il y a la bêtise, l’aveuglement, l’entêtement, la lâcheté, la méchanceté au quotidien. Un jeune musulman tenté par le djihad de quartier entre nuitamment chez elle par le balcon des voisins, la bat, puis prenant plaisir à la chose, la torture longuement, puis soudainement lassé la défenestre au cri de « Allahou Akbar ! ». Soit dit en passant, « Allahou Akbar » n’est pas « Allah est grand » comme on le traduit en France, mais « Allah est le plus grand », Akbar est un superlatif. Les Anglais qui sont de meilleurs traducteurs disent « Allah the greatest ». Cela veut dire qu’une sentence émise par Allah, via le Coran, ne peut jamais être révoquée que par lui, aucune puissance au monde ne lui est égale ou supérieure.

Les représentants autoproclamés des musulmans et du culte musulman en France n’ont rien dit et ne disent rien. La France officielle, pareillement, ne dit rien. Deux silences indifférents… coupables… complices.

Pour commander "Le Nouvel Antisémitisme en France" chez Albin Michel

"Le Nouvel Antisémitisme en France"

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