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"Le musée se met au vert ! Paysages en représentation(S)" : une expo originale et intéressante, mais trop chargée
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Atlanti-culture

Catherine Stucki pour Culture-Tops

Catherine Stucki pour Culture-Tops

Catherine Stucki est chroniqueuse pour Culture-Tops.

Culture-Tops est un site de chroniques couvrant l'ensemble de l'activité culturelle (théâtre, One Man Shows, opéras, ballets, spectacles divers, cinéma, expos, livres, etc.).
Voir la bio »

EXPOSITION

Le musée se met au vert ! Paysages en représentation(S)

INFORMATIONS

Jusqu' au 7 janvier 2018

Musée des Beaux-Arts

20 cours d’Albret

33 000 Bordeaux
Tél. : 05 56 10 20 56
[email protected]
www.musba-bordeaux.fr

Ouvert tous les jours, sauf mardis et jours fériés,

de 11h à 18h  

Tarif : 5 €, réduit 3 €.

Attachée de presse
[email protected]

RECOMMANDATION :BON

THEME

Dans le cadre de la saison Paysages Bordeaux 2017, le musée des Beaux-Arts présente cette exposition sur le paysage peint. Un parcours composé de 11 sections où se mêlent oeuvres de la collection et oeuvres contemporaines, le tout complété par 2 oeuvres réalisées in situ par Erik Samakh et Franck Tallon. 

La saison Paysages est ainsi l’occasion pour le musée des Beaux-Arts de réinvestir et de revisiter ses collections autour d’un des genres picturaux les plus récurrents de l’histoire de l’art : le paysage. 

Rompant avec les codes de la muséographie traditionnelle par école et par époque, cette approche thématique permet un parcours de visite inédit, parfois décalé. 

Introduit par l’Ecole nordique – à l’origine du paysage naturaliste moderne –, ce parcours se déploie dans les deux ailes du musée, déclinant différents thèmes paysagers : vues de ports,  scènes de tempêtes,  nocturnes, marines,  paysages pastoraux et urbains ou encore diverses interprétations  de l’allégorie des Quatre saisons. Des accrochages denses dans l’esprit des salons du XIXe alternent avec des présentations au contraire plus épurées.

POINTS FORTS

De part son parcours non traditionnel, cette exposition est déroutante mais  intéressante. Couvrant un large panorama chronologique, du XVIIe au XXe siècle, la sélection des œuvres "anciennes" vient dialoguer avec des œuvres contemporaines, prêtées par le CAPC musée d’art contemporain.

 On découvre, par exemple, que les Hollandais ont été les premiers à traiter le paysage comme un sujet à part entière, annonçant en cela l’Ecole moderne du paysage français du XIXe, autour de la figure tutélaire de Corot et des paysagistes de Barbizon.

A noter qu’en raison de leur format imposant et particulier, bon nombre des œuvres présentées sont rarement montrées.

POINTS FAIBLES

Comment dire… l’exposition est trop riche !!

EN DEUX MOTS

Même s'il y a overdose, on fait des découvertes passionnantes.

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