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Surpris par l'élection de Trump ? Si vous aviez lu ces articles sur Atlantico, vous l'auriez été beaucoup moins...
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Dans la boule de cristal d'Atlantico...

Depuis plus d'un an, Atlantico analysait les éléments qui permettaient de comprendre le véritable mouvement de fond que le magnat de l'immobilier représentait. Petit florilège...

L'élection de Donald Trump fait figure de tremblement de terre politique. Les sondages et les commentaires le donnaient perdant, et même l'équipe de campagne de Trump prévoyait une défaite

Cependant et depuis plus d'un an, Atlantico décryptait pour ses lecteurs le mouvement politique que Trump pouvait représenter, et analysait les élements qui laissaient penser que son ascension était prévisible, en tout cas plus important que le seul accident démocratique que l'on a pu lire par ailleurs. Candidat des laissés-pour-compte, candidat maître des réseaux sociaux, candidat du politiquement incorrect dans une scène politico-médiatique qui n'a pas voulu voir ce qu'il avait réussi à incarner... La rédaction d'Atlantico vous propose de revenir sur les principales dynamiques qui ont pu jouer en sa faveur, dynamiques (on peut le prédire) qui n'ont probablement pas fini d'être à l'oeuvre dans les démocraties occidentales.

  • Juillet 2015, sur Atlantico : "Tout le monde dit que Trump ne sera pas désigné par le parti, car à un moment où à un autre, l'appareil du parti se mobilise. Il ne faut pas uniquement gagner la primaire, il faut gagner l'élection présidentielle. Un candidat comme Trump générera un rejet de la majorité de l'électorat américain. Mais on ne peut pas exclure que quelqu'un s'impose contre l'appareil du parti. Aujourd'hui, il plait à cette frange qui se sent la plus déstabilisée dans les Etats-Unis tels qu'ils sont devenus."

L'article dans son intégralité : Comment Donald Trump parvient à incarner l’Amérique qui gagne dans une société en perte de repères

  • Août 2015 : "Pour dire un mot des Etats-Unis, l’on assiste justement à l’ascension de Trump parce que les grands prétendants à la présidence, d’Hillary Clinton à J. Bush sont de médiocres orateurs. Obama, le meilleur orateur mondial de sa génération, ou, chez les Républicains, un Reagan, n’auraient fait qu’une bouchée de Trump !"

L'article dans son intégralité : Les secrets de l'attraction pour Donald Trump (et pourquoi le syndrome guette aussi l'Europe)

  • Août 2015 : "Celui qui va gagner sera celui qui proposera une voie d’avenir crédible au peuple américain. Et c’est là que les neuf ont échoué cette nuit face à Trump [au cours de ce premier débat entre les candidats pour l'investiture républicaine]."

L'article dans son intégralité :Donald Trump : Pourquoi le chien dans le jeu de quilles de la politique américaine représente une menace pour son parti, et les autres…

  • Décembre 2015 : "Nous sommes en ce moment dans une période de pré-primaire aux États-Unis et nous observons en effet que ce sont les outsiders qui n’ont pas de parcours ou d’expérience politique qui pour l’instant mènent la barque."

L'article dans son intégralité : Trump, FN et cie… Cette vague populiste qui monte dans le monde entier : aux sources du phénomène qui ébranle les systèmes politiques sur les 5 continents

  • Mars 2016 : "Aux Etats-Unis comme ailleurs, beaucoup de gens en ont assez qu’on leur serine l’air de la reprise et du retour de la prospérité alors qu’ils n’en ressentent rien"

L'article dans son intégralité : Qui craint le grand méchant Trump ?

  • Mars 2016 : "De là à dire qu'il existe chez Donald Trump un vote blanc qui se revendique comme blanc… D'une certaine façon c'est vrai : c'est quelque chose qui existe très clairement, qui est là et qu'on ne peut pas nier. Mais c'est également un phénomène relativement marginal. Il est important de ne pas en faire un des éléments premiers du vote pour Donald Trump, car ce serait assez réducteur."

L'article dans son intégralité : Trump, champion des blancs ? La présidentielle de 2016 préfigure-t-elle une Amérique où le vote deviendrait une pure affaire ethnique ?

  • Mars 2016 : "Leur ressentiment est profond, et Bernie Sanders autant que Donald Trump ont parfaitement su l’exploiter. Face à cette perte de repères, la petite classe moyenne blanche avait besoin d’un ou plusieurs boucs émissaires. C’est humain. On le sait depuis René Girard. Nos deux candidats en avaient justement plusieurs à leur jeter en pâture"

L'article dans son intégralité : 2016, l’année de la revanche de la classe moyenne blanche américaine

  • Avril 2016 : "Ce qu’affiche Trump, c’est un véritable interventionnisme de l’Etat fédéral dans le traitement de la question migratoire. C’est d’ailleurs habile puisque 81% des personnes interrogées estiment que l’Etat devrait jouer pleinement son rôle dans la gestion du système migratoire et seulement 28% de ces mêmes sondés considèrent que l’Etat fédéral "fait bien le job" en la matière. C’est sur cette thématique que l’écart est le plus grand entre les attentes exprimées et les résultats évalués. Trump est un professionnel de la politique. Encore plus cynique que quelques leaders politiques européens (ou européennes…). Il appuie là où ça fait mal"

L'article dans son intégralité : Donald Trump et Hillary Clinton, des "gauchistes étatistes" : quand Ted Cruz s’étrangle en découvrant la grosse envie d’un Etat fort exprimée par les Américains

  • Mai 2016 : "Différentes études conduites au cours du mois d’avril 2016 par le Pew Research Center montrent qu’une partie des 20-30 ans qui auraient pu soutenir les positions de Sanders pourraient se tourner vers  un soutien à Trump lors du Popular Vote de novembre prochain, ce qui montre qu’aujourd’hui la versatilité de l’opinion publique s’est affirmée."

L'article dans son intégralité : Donald Trump pourrait-il devenir une bonne surprise à la Reagan ?

  • Août 2016 : On pourrait penser, a priori – et avec un regard français –, que les Afro-Américains n’ont rien à attendre de Donald Trump et qu’ils vont donc soutenir en masse la candidate démocrate et sans se poser de question. Mais si cet engagement des minorités ethniques à Mme Clinton semble être une évidence pour beaucoup, la situation est en réalité un peu plus complexe. Donald Trump va donc mener une campagne pour essayer de fissurer "la conviction de groupe" et de s’adresser à ces électeurs de façon plus individuelle. L’attaque qu’il a lancée est frontale, mais pourrait bien porter des fruits : "Aucun groupe en Amérique n'a plus souffert des politiques d'Hillary Clinton que les Noirs", a-t- il affirmé lors d'un meeting à Dimondale, dans le Michigan. "Vous vivez dans la pauvreté, vos écoles sont mauvaises, vous n'avez pas de travail, 58 % de votre jeunesse est au chômage. Mais qu'est-ce que vous avez à perdre ?".

L'article dans son intégralité : Pourquoi les clins d’oeil envoyés par Donald Trump à la communauté afro-américaine pourraient bien faire mouche

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