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ZAPPING ECO - Carlos Tavares, PSA : "Nous voulons devenir un grand constructeur mondial" mais aussi Patricia Ferrand (Unedic) et les tweets du matin
©BFM Business

Tout ce qu'il faut retenir

Le Replay

Carlos Tavares était l’invité de BFM Business ce matin. Le président du directoire de PSA était interrogé sur la situation économique de l’entreprise après la présentation du plan, il y a quelques mois, destiné à redresser les comptes du constructeur.  "Notre objectif, c’est celui de la pérennité" lance Carlos Tavares. Sans confirmer qu’il n’y aurait plus de suppressions d’emplois, il indique "l’État français est notre actionnaire. Il est parfaitement au courant de la tonalité de notre plan "Back in the Race". Nous avons exposé, région par région, la manière dont nous allions reconstruire cette entreprise." Pour le PDG, "il y a une réalité du génie français. Quand on sollicite nos équipes pour améliorer l’organisation, nous avons des propositions pertinentes." Sur la Chine, Carlos Tavares est plus loquace : "nous avons, en Chine une croissance rentable, c’est notre deuxième jambe avec l’Europe. N’oublions pas que la Chine c’est 20 millions de véhicules par an. Cela nous ouvre des perspectives avec l’Asie du sud-est. Il y a de belles opportunités de croissance en Indonésie, en Thailande, que nous devons aller chercher car nous voulons devenir un grand constructeur mondial." REGARDEZ LA VIDEO.

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Qui à dit ?

"Les droits rechargeables représentent un coût supplémentaire : 380 millions d’euros"

Réponse : Patricia Ferrand sur Radio Classique. La présidente de l’UNEDIC était interrogée sur la réforme de l’assurance chômage qui instaure le système des droits rechargeables. "Jusqu’à présent, le demandeur pouvait hésiter à reprendre un emploi parce qu’il ne savait pas ce qu’allait devenir son allocation. Aujourd’hui, il y a toujours un intérêt financier à reprendre un emploi. Toutes les périodes travaillées permettront de rallonger la durée d’indemnisation." Précisant le coût de la mesure, 380 millions d’euros, Patricia Ferrand estime que "le déficit est important, c’est un point de vigilance pour nous car l’accord de l’assurance chômage avait pour objectif de maitriser le déficit."

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