Martin Schulz : "Les banques ne garantissent pas suffisamment l’accès au crédit pour les PME"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Economie
Martin Schulz : "Les banques ne garantissent pas suffisamment l’accès au crédit pour les PME"
©

Le Zap'Éco

Le Replay

Martin Schulz était l’invité de Europe 1 ce matin. Président sortant rélu à la tête du Parlement européen, l’homme politique allemand a relevé l’importance, "surtout pour gagner le vote de la Gauche", de mener une politique européenne "contre le chômage des jeunes pour plus de croissance et de flexbiilité dans le bras  préventif du pacte de responsabilité". Sur un possible report de l’agenda de respect des critères européens de 3% de déficit pour la France, Martin Schulz est catégorique : "Impossible. Ils sont dans les traités : il faut les respecter." Il faut plutôt s’interroger autrement : "Quels sont les flexibilités nécessaires pour les Etats membres pour relancer leur économie ?". Relevant les niveaux de change de l’euro, le président estime que "l’argent aujourd’hui en Europe est très bon marché. Les banques empruntent à 0,15% mais ne garantissent pas suffisamment l’accès au crédit pour les PME."

Qui a dit ?

"Nous mettons en garde à la fois le patronat et le gouvernement sur les conséquences de leurs actes"

Réponse : Thierry Lepaon, secrétaire générale de la CFDT ce matin sur France Info.  "Les salariés ont décidé de se mettre en grève tout le monde savait que ça allait se passer. Les négociations arrivent bien tard. Nous mettons en garde à la fois le patronat et le gouvenemnt sur les conséquences de leurs actes. Il a fallu une mobilisation des intermittents pour que le gouvernemnt se disent 'nous allons réfléchir'." 

Le sujet vous intéresse ?

Thématiques

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !