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Thierry Petit, Yves Guenin, Anne-Sophie Fontaine... Le Best-of des interviews d'Atlantico Business
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Best of

Thierry Petit sur les "digital-women" de Showroomprivé, la frite McCain comme "remède anti-crise", et le Made in France de Saint-James : le Best-of des interviews d'Atlantico Business

Thierry Petit : "Le e-commerce ce sera forcément autour du mobile et avec de très fortes dominantes sociales " 

Le fondateur de Showroomprivée.com expose les facteurs qui ont tiré la croissance du site en 2013 : "Le premier, c'est notre offre que l'on adresse aux femmes, ces "digital-womens", dans des gammes autour du prêt-à-porter, de la décoration, de l'enfant, en proposant des marques spécifiques. Cela représente 85% de notre offre. Le deuxième axe, c'est le mobile qui rencontre un succès colossal : 40% de notre audience se fait via ces terminaux avec lesquelles nous avons réalisé 100 millions d'euros de CA. Le troisième axe, c'est notre garantie de livrer en 24 heures chez le client". Thierry Petit constate les promesses d’un marché pas encore timide : "(…) Le e-commerce a encore de beaux jours devant lui. Là où en Angleterre il représente 12% du commerce de détail, nous en sommes encore qu'à 6%. Il y a donc encore beaucoup de croissance à venir (…) Côté consommateur, ceux qui ont actuellement 15-20 ans, qui sont les consommateurs de demain, on voit clairement les enjeux : le e-commerce ce sera forcement autour du mobile et avec de très fortes dominantes sociales." LIRE L'INTERVIEW

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Yves Guenin : "Internet n'est pas une concurrence pour Optic 2000"

Le secrétaire général du groupe Optic 2000 estime ne pas être inquiet face à la montée de la concurrence sur internet : "Je crois qu'internet n'est pas une concurrence. C'est un phénomène mondial, un mode de consommation. Internet viendra dans l'optique comme il est venu dans la chaussure ou ailleurs. Néanmoins, je crois qu'il faut être sur internet avec conscience et respect de son métier. Le problème des pure-players, c'est qu'ils vendent des lunettes sans centrage, sans ajuster la longueur des branches, comment on fait chez soi ? Il faut me donner la réponse. Chez Optic 2000, nous avons un site e-commerce où le client peut pré-réserver et aller essayer le produit en magasin et voir s'il lui est adapté, si ce sont les bons verres etc. Ce modèle marche puisque nous sommes le premier site d'optique en ligne à être consulté dès lors qu'un client effectue une recherche sur internet dans ce sens-là". LIRE L'INTERVIEW 

Anne-Sophie Fontaine: "La frite, un remède anti-crise"

La directrice générale France de McCain explique la passion nationale autour de la frite : "Nous avons la chance d’être sur un segment surgelé qui a énormément bien fonctionné. Les raisons de cette bonne santé, c’est d’être sur des produits, comme notre gamme de frites au four, qui répondent aux besoins des nouveaux foyers qui ne sont plus forcément équipés en friteuse. Cette gamme nous a permis de générer une croissance forte en 2013 et ce que nous souhaitons poursuivre cette année. Notre stratégie, c’est d’encourager l’usage de la pomme de terre sous toutes ses formes afin de rendre nos vies plus faciles. N’oublions pas que c’est un produit qui a énormément de bienfaits, qui apporte des sucres lents et de nombreux points positifs pour la santé. Et puis, un produit aussi emblématique que la frite, c’est une sorte de remède anti-crise !" LIRE L'INTERVIEW

Hugues Souparis : "L’intelligence économique est aussi importante que le marketing" 

Le PDG d’Hologram Industries est responsable de l’intelligence économique à CroissancePlus et détaille les éléments de cette nouvelle pratique : "L’intelligence économique, c’est se renseigner sur tous les aspects de la concurrence. Notamment, les informations sur les marchés,  les appels d’offres, qui les gagnent, et quelles technologies existent, à quels prix, etc. Toute cette information sur la concurrence est très importante pour à la fois positionner ses produits et ses prix et définir sa stratégie en fonction de celle des autres. On récolte de l’information, on la classe, puis on la diffuse dans l’entreprise. Il faut bien connaître son marché, les concurrents, leurs produits, leur marketing, leur organisation, leurs brevets, etc. Toutes ces informations se trouvent relativement facilement pour peu qu’on soit organisé pour les chercher, et surtout par la suite les traiter. Une fois l’information récupérée, l’important est de l’adresser à ceux dans l’entreprise qui en ont besoin"; LIRE L'INTERVIEW

Luc Lesénécal :  "Le Made in France tout seul ne veut rien dire"

Le directeur général de la marque de prêt-à-porter Saint-James explique l’intérêt de marier qualité et Made In France : "La croissance de Saint-James c'est avant  tout un triptyque. Premièrement, la qualité et le bon prix. Quand on achète un pull Saint-James, on achète de la solidité, du confort. Ensuite, il y a le critère de l'imaginaire de la marque qui est très fort et qui se fonde sur une histoire vraie. Savoir que nos produits viennent bien de Normandie, que ce n'est pas une "légende" ou une fausse histoire, ça rassure. Enfin, il y a en effet ce côté "Made in France", là encore on touche le souci de traçabilité du produit voulu par le consommateur. Cependant, le "Made in France" tout seul ne veut rien dire. Si vous avez un produit qui n'a pas une perception qualitative, le côté "Made in France" ne rajoutera rien. C'est une combinaison des trois facteurs." LIRE L'INTERVIEW

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