Seine : un piranha dévoreur de testicules pêché <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Le pacu a été pêché dans la Seine ce vendredi
Le pacu a été pêché dans la Seine ce vendredi
©capture d'écran de The Telegraph

Attention danger

Il s'agit du Pacu. Ce poisson a déjà été repéré dans le détroit séparant la Suède et le Danemark.

On retrouve vraiment de tout dans la Seine. Les plongeurs de la brigade fluviale de la police parisienne retrouvent régulièrement des espèces insolites dans la Seine. En 2012, ils ont repêché un python royal sans tête de 3m de long et de 40 kg, ainsi qu’un silure de plus de 1m70. Mais ce qui a été récupéré ce vendredi laisse pantois. En effet, un cousin végétarien du piranha a été pêché par un pêcheur à la ligne, a indiqué mardi la préfecture de police de Paris. Ce pêcheur a appelé la brigade fluviale pour lui signaler sa prise, avant de lui apporter directement le spécimen, un Pacu, a expliqué la préfecture dans sa lettre hebdomadaire PPrama.

Comme son célèbre cousin le piranha, le Pacu est un poisson d’eau douce, reconnaissable à sa puissante mâchoire, avec une dentition qui fait penser à celle de l’homme. Cette espèce sud-américaine, qui n’attaque normalement pas l’homme, est élevée pour sa chair en Amérique du Nord. En août, un Pacu avait été retrouvé en mer près du Danemark.  Seulement voilà, ce poisson possède une particularité : il est réputé pour s'attaquer aux parties intimes des hommes. C'est pourquoi il est surnommé par les scientifiques le "coupeur de testicules". Ainsi, récemment, Henrik Carl, un expert danois expliquait : "Les pacus ne sont normalement pas dangereux mais ils ont une bonne mâchoire et il y a eu des incidents dans certains pays. Par exemple, en Papouasie Nouvelle-Guinée des hommes se sont fait arracher les testicules".

Lu sur Libération.fr

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !