Johnny Hallyday : il tacle Michel Sardou, la gauche et se lâche dans sa nouvelle autobiographie<!-- --> | Atlantico.fr
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Des confession surprenantes qui devraient faire couler beaucoup d'encre...
Des confession surprenantes qui devraient faire couler beaucoup d'encre...
©Reuters

People

Dans ce nouveau livre co-signé avec Amanda Sthers, l'ex-idole des jeunes évoque ses amours, ses expériences et même ses idées politiques.

Dans cette autobiographie intitulée "Dans mes yeux", et co-écrite avec la romancière Amanda Sthers, le rockeur préféré des français n'hésite pas à régler ses comptes une bonne fois pour toute.

Johnny Hallyday se lâche notamment sur ses collègues artistes et chanteurs de la variété française. Avec le regretté Claude François le rockeur n'est ^pas tendre : "C'était un vrai travailleur. Il bossait dix fois plus que moi. Mais il n'arrivait jamais à faire ce que je faisais. Ça le rendait fou. Jaloux. Il draguait mes nanas et, en désespoir de cause, il se tapait mes ex." Le chanteur évoque également la carrière de Michel Sardou, avait qui il s'était fâché  récemment : "Je pense qu'on subit tous l'image qu'on véhicule, un jour, elle se mêle si intimement à notre vérité qu'on ne peut plus les séparer. Je pense que ça a été le cas pour Sardou, à force de passer pour un vieux con réac, il l'est devenu.

Sur les raisons qui l'ont poussé à s'installer en Suisse en 2006, Johnny Hallyday explique : "On a souvent dit que je m'étais barré pour ne pas payer d'impôts. C'est en partie vrai, mais c'est aussi parce que c'est épuisant cette ambiance". Pour lui, la France est un pays où règne "une sale mentalité" . "Je me suis toujours demandé pourquoi aux Etats-Unis quand t'as une belle voiture, les mecs sourient et te disent formidable, et en France on te traite de voleur", poursuit-il.

"Je n'aime pas la médiocrité, je pense que la gauche pousse vers ça. Je ne suis pas pour que les gens pauvres le soient. C'est malheureux, il faut les aider. Mais pas en leur faisant l’aumône (...). Je n'aime pas les sociétés d'assistés (...). Je n'aime pas qu'on me fasse passer pour un type sans coeur sous prétexte que j'ai une sensibilité de droite", conclut-il.

Des confession surprenantes qui devraient faire couler beaucoup d'encre...

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