Kate Middleton topless : les photos sont l'oeuvre d'un photographe irlandais<!-- --> | Atlantico.fr
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Les clichés n'ont pas coûté cher à Closer. Le prix aurait été choisi au préalable par le magazine, comme cela se fait généralement.
Les clichés n'ont pas coûté cher à Closer. Le prix aurait été choisi au préalable par le magazine, comme cela se fait généralement.
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Scoop

L'homme, qui vit dans le sud de la France, n'aurait pas facturé ses clichés très cher.

L'information a fuité. L'auteur très recherché des photos de Kate Middleon au seins nus sera peut-être bientôt démasqué.

C'est un paparazzo français qui a vendu la mèche. Pascal Rostain, le célèbre photographe de stars, a confié à l'AFP que l'auteur des clichés est bien connu du microcosme des paparazzi, mais que tous les professionnels sont solidaires pour garder le secret. "Je peux juste vous dire que c'est un Britannique, même un Irlandais, qui vit dans le Sud de la France"."Dans notre petit monde des paparazzi, on sait qui c'est, mais on ne dira évidemment rien", a-t-il révélé.

Il avait déjà indiqué en début de semaine au quotidien Metro qu'il s'agissait d'un "Anglais qui vit dans le sud de la France". 

La semaine dernière, Laurence Pieau, directrice de la rédaction de Closer, avait affirmé à l'AFP : "On avait eu l'information de l'arrivée à Marseille de Kate Middleton et William." Avant d'expliquer: "Nous avons alors demandé des images à un photographe professionnel avec qui nous avons déjà travaillé.» Le magazine n'avait pas révélé le montant déboursé pour se procurer ces clichés qui, depuis, ont fait le tour du monde."

Cerise sur le gâteau : il a ajouté que les clichés n'avaient pas coûté cher à Closer. Le prix aurait été choisi au préalable par le magazine, comme cela se fait généralement : "Quand un magazine passe commande à un photographe ou à une agence, ce qu'on appelle "prendre en garantie", le prix est fixé à l'avance, ça peut être 1.000 euros par jour de travail, plus les frais et quelques milliers d'euros pour les clichés", a précisé Pascal Rostain. 

"Le photographe ou l'agence, qui en général garde les droits sur les ventes internationales, peut ensuite "se refaire" et gagner beaucoup plus en cédant les images à des journaux d'autres pays", a-t-il expliqué, estimant que les photos de la duchesse de Cambridge ne devaient pas faire exception à la règle.

Lu sur l'Express

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