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Christine Angot : "Il y a aussi une mauvaise foi à ne pas vouloir me comprendre"
©FRANCOIS GUILLOT / AFP

Buzz machin'

Dans un portrait proposé par Le Figaro, la chroniqueuse d'"On n'est pas couché" s'est défendue d’être une "machine à clashs".

Mais au fait, que pense Christine Angot de ses interventions ? Dans un portrait intitulé "l'enfiévrée du samedi soir", le Figaro a donné la parole à la chroniqueuse d'"On n'est pas couché". Cette dernière est régulièrement sous le feu des critiques pour ses interventions et ses clashs, notamment avec François Fillon, Sandrine Rousseau ou encore Eric Dupond-Moretti. Mais d'après l'écrivain, ce n'est pas elle qui génère la violence.

"Il y a des moments qui sont un peu difficiles parfois sur un plateau" a-t-elle indiqué. "On est dans une société violente, je ne pense pas que ce soit moi qui crée cette violence, vraiment. Il y a des contraintes très différentes, des préoccupations différentes. Et de soutenir : "Je ne suis pas une machine à clashs. Et, déjà, surtout, je ne suis pas une machine. J'essaie toujours de passer sur les côtés, je n'y vais jamais frontalement. Cela ne m'intéresse pas de blesser les gens".

Concernant son altercation très médiatisée avec Sandrine Rousseau, elle explique : "Elle pleu­rait, bon d'accord, elle pleu­rait, mais je n'ai jamais été contre elle, bien au contraire. C'est sa phrase à propos des gens 'for­més pour recueillir la paro­le' qui m'a fait réagir". La prise de bec avec François Fillon  ? "Il ne faut pas inverser les choses. La violence était dans le comportement de François Fillon".

La chroniqueuse – qui semble vivre sur une autre planète, d'après le Figaro, a ajouté : "Ce qui m'ennuie, c'est que je me rends compte quelquefois que je ne suis pas comprise ; quelquefois, il y a aussi une mauvaise foi à ne pas vouloir me comprendre". 

Lu sur Le Figaro

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