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Le fils d'Alain Bashung a aussi été déshérité
©Fabrice COFFRINI / AFP

Histoire de famille

"Arthur n'a rien eu. Aucun souvenir. C'est très violent à encaisser", explique la deuxième épouse du chanteur dans le JDD.

Le rififi autour du testament de Johnny Hallyday, qui a déshérité ses deux aînés, David et Laura, a rappelé des mauvais souvenirs à Arthur Bashung, fils d'Alain Bashung, décédé en 2009. Lui aussi s’est senti spolié à la mort de son père, lorsqu'il a appris, au lendemain de l'enterrement, qu'il ne recevrait rien. "L’actualité m’y fait penser, cela me met mal à l’aise. Je mets cela derrière moi, avec une certaine rancœur. Mais je ne suis pas prêt à en parler. Ma mère peut s’entretenir avec vous, avec mon accord", a expliqué Arthur Bashung au JDD.

Sa mère, Chantal, qui fut l'épouse du chanteur pendant 18 ans, donne plus de détails. "Comme Laura et David Hallyday, Arthur n’a rien hérité de son père pour l’instant. Bien que la loi française stipule qu’il est impossible de déshériter un enfant, il est possible de la contourner. Ça a été le cas", explique-t-elle.

"Le lendemain de l’enterrement de son père, en mars 2009, Arthur a eu le choc de recevoir le testament : Alain avait laissé à sa veuve [Chloé Mons, qu'il a épousé en 2001] tous ses droits d’auteur, bénéfices artistiques, biens, meubles et effets personnels".  Arthur ne pourra donc rien recevoir jusqu'à la mort de sa belle-mère, qui est à peine plus âgée que lui.

Pis, "un héritage, ce sont aussi des souvenirs. Arthur avait demandé à récupérer une guitare qu’Alain lui avait promise, ainsi qu’une collection de 33‑tours de rock qu’il avait mise de côté pour lui et des cassettes audio portant son prénom qui contenaient des enregistrements que père et fils avaient faits ensemble. Arthur n’a rien eu. Aucun souvenir. C’est très violent à encaisser", ajoute Chantal M.

Lu dans Le JDD

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