Gérard Depardieu accuse la justice française d'être responsable de la mort de son fils Guillaume<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
People
Gérard Depardieu accuse la justice française d'être responsable de la mort de son fils Guillaume
©Capture BFMTV

So French

Dans un entretien accordé à un média américain, le plus français de tous les acteurs français a canardé à vue, comme à son habitude.

L'histoire est ancienne mais elle ne passe pas pour Gérard Depardieu. Et c'est compréhensible, quand on sait qu'elle a abouti à la mort de son fils Guillaume. Tout commence par un accident de moto en 1995 qui abîme considérablement de son acteur de fils, lequel multiplie les opérations chirurgicales pour tenter d'atténuer les souffrances que lui procurent sa jambe. Il passe ainsi une année à l'hôpital mais rien n'y fait, il souffre toujours. Il se procure alors de l'héroïne et est pris sur le fait. Gérard Depardieu est revenu sur cette affaire : «Ils ont tué mon fils pour deux grammes d'héroïne. Il y avait une vieille juge haineuse qui voulait tuer mon fils... c'était une juge de Versailles qui voulait vraiment coincer un Depardieu. Alors, elle s'en est prise à mon fils, mais si elle avait pu, c'est à moi qu'elle aurait passé les menottes...» Une fois de plus, il s'en est pris aux institutions de son pays, alors qu'il avait déjà poussé la provocation à devenir officiellement russe en 2013. «Je pense que la justice américaine est meilleure que la justice française.» L'histoire est d'autant plus tragique que Guillaume sera amputé par la suite et mourra d'une infection par un staphylocoque. Un chagrin immense pour son père qui continue de le miner aujourd'hui.

La suite de l'entretien est plus légère et farfelue. Il compare Trump et Kim Jung Il a des personnages de cartoons… et à Hitler. Puis de chanter les louanges de son ami Vladimir Poutine. Et bien sûr de se moquer de "la putain de presse française". 

Lu sur Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !